Dans ses bras

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Mes larmes continuais de couler, j'entendais le murmure des gens réunis autour de moi . Je pleurais tellement que cela devenait difficile de respirer.

??? : Ben ques qui t'arrive (tp) ?

Cette voix je la reconnaissais, je me tournai d'un coup sec, en tentant de reprendre mon souffle

Cette voix je la reconnaissais, je me tournai d'un coup sec, en tentant de reprendre mon souffle

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(tp) : Jean !?

Je me jetai dans ses bras, après plusieurs minutes à comprendre ce qui se passait je me détachia de ses bras fit face à lui et lui mit une claque.

Jean : Qu'es qui te prend ?

(tp) : Tu étais ou ?!

Jean : Emmener Armin à l'infirmerie, il a fait une mauvaise chute et il étais gravement blessé.

L'infirmerie je n'y avait pas pensé, je m'était donnais en spectacle pour rien, alors que cela semblait évident comme endroit. Voyant que je m'était inquiéter pour lui, Jean me prit de nouveau dans ses bras et il me fit un bisous sur ma joue humide.

Jean : Je suis désoler de t'avoir fait peur.

(tp) : C'est ma faute, j'aurais dû aller voir à l'infirmerie.

Jean : En parlant de ça Livaï à était transférée dans votre chambre, pour laisser la place aux personnes bléssé.

(tp) : Je vais aller le voir, tu veux venir ?

Jean : T'es sur, je voudrais pas vous dérangez.

(tp) : Non ne t'inquiète pas.

En moin de trois minutes j'avais cru le perdre et le voilà de nouveau donc si il croyait qu'il me dérangait il était loin de la vérité. J'aggripai sa main et le tira en direction des couloirs des dortoirs. Je montai les escaliers quatre à quatre en tirant Jean.

Jean : On vient d'une expédition et toi tu débordé d'énergie.

Je surprit Jean plusieurs fois à se frotter la joue à l'endroit où je l'avais frapper. On arriva dans ma chambre et on trouva Livaï attablés au bureau une tasse de thé, il affichait un regard inquiet, quand je passa la porte le regard de Livaï changea et il se leva d'un coup sec, mais ses blessures le rappela à l'ordre et il serra les dents de douleurs.

(tp) : Hé attention !

Je m'approchai de lui et il me prit dans ses bras et je déposa un baiser sur ses lèvres.

Livaï : Pourquoi tu pleures ?

Je devais avoir encore les joues humides et les yeux rouges.

(tp) : La tête de cheval derrières nous était introuvable et j'ai cru qu'il était mort.

Jean : Hé ! On avait dit que si j'arrêtais de t'appeler "tête de mule" tu arrêtais de m'appeler " la tête de cheval". Un conseille mon Caporal ne la contrarier jamais, ma joue souffre encore.

Je me tourna vers Jean et lui tira la langue. Il rigola et acciona la poignée de la porte.

Jean : Bon je vois que vous allez bien Caporal Chef, je vais donc vous laissez.

(tp) : À plus tard tête de cheval.

Il me lança un regard noir et passa la porte. Je me tournai vers Livaï et l'embrassa langoureusement.

(tp) : Je vais prendre une douche.

Livaï me regarda et il comprit que je voulais qu'il me suive. On entra dans la salle de bain et on se déshabilla, Livaï galérait, et moi je riait de le voir comme ça.

Livaï : Plutôt que de te marrer tu pourrais m'aider ?

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Livaï : Plutôt que de te marrer tu pourrais m'aider ?

Je l'aida et on rentra dans la douche, on ne s'était séparée qu'une journée mais on avait l'impression que cela fesait des semaines. Livaï me plaquai contre le mur froid de la douche, il m'embrassait langoureusement et ses doigts descendait le long de mon ventre, ses doigts s'inssinuèrent en moi, je poussa des cris que Livaï camouflait de ses baisers. On s'arrêta la ne pouvant aller plus loin, on sorti de la douche et on alla se poser sur le lit.

Livaï : Même si on fait très attention ?

(tp) : Mais Livaï, tu n'arrive même pas à te déshabillait sans mon aide et tu croit que tu pourrait me faire l'amour ?

Livaï sembla déçus, ne sachant pas quoi dire comme argument il recommença ce que l'on avait commencé dans la douche.

(tp) : Livaï...

Je ne cèderais pas me disais-je mais j'en avais très envie moi aussi , je décidai donc de prendre le dessus. Je me mit au dessus de Livaï embrassa son torse et passa près de ses récentes blessures ce qui le fit frémir. Je descendis en dessous de la taille de mon copain et ma tête disparu entre ses jambes, Livaï posa sa main sur ma tête. Après plusieurs minutes je sentis un liquide dans ma bouche que j'avala puis je revins me coucher à côté de mon homme. Il me prit dans ses bras et me serra de toute ses forces, je m'endormis dans ses bras musclées.
Le lendemain matin je fus réveiller par le tonnerre, il étais tôt et je tenta de me rendormis collée au torse de mon Caporal en vain. Impossible de se rendormir je me levai et mis une tenue confortable pour la journée, le lendemain des expéditions c'est journée de repos, je m'asseyai au fauteuil de Livaï et continua un de mes livres, vers 8h30 Livaï émergea de son sommeil ses bras me cherchant dans les draps, il releva la tête vers moi.

Livai : T'es tombée du lit ?

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Livai : T'es tombée du lit ?

(tp) : Le tonnerre ma réveillé il y a bien une 1h30 de sa.

Livaï : Vien te recoucher cinq minutes avec moi.

Je me couchau à côté de lui et il me prit dans ses bras et me couvra de baiser.

(tp) : Que me vaut tant de tendresse ?

Livaï : Sans aucune raison particulière, je veux juste être avec toi .

Attendri par ses mots doue, je ferma les yeux et m'endormis à mon grand étonnement. On se réveilla tout deux vers les alentours de 10h et on passa le reste de la journée ensemble.

Livaï x Reader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant