{[ EN RÉCRITURE ]} QUELQUES CHANGEMENT COMME L'AGE, DONC SI IL Y A DES INCOHÉRENCES C'EST NORMAL ! (les chapitres marqués d'un ☀️ sont réécris)
•Vous êtes une jeune fille pleine de caractère qui rentre dans le bataillon d'exploration, des aventures...
Le lendemain matin je fus réveillé par les rayons du soleil. Je vis Livaï qui étais entrain de feuilletait un de mes livres.
(tp) : Il te plaît ?
Livaï : Bonjour, oui ça va.
Je me levai de mon fauteuil et je m'asseyai sur le lit à côté de Livaï, il posa le livre et il m'embrassa langoureusement.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
(tp) : Ça ne te dérange pas si te laisse seul pour aller prendre une douche et mettre des habits propre ?
Livaï : Non, bien sûr non. Parcontre tu pourrais me rammener des habits aussi j'en ai marre d'être en caleçon...
(tp) : Oui bien sûr.
Je montai dans notre chambre, pris une douche et m'habillai. Je pris dans les affaires à Livaï quelques vêtements à lui et je lui prit aussi ses thés. Je passa ensuite dans la cuisine et prépara deux thés.
(tp) : Je suis la !
J'embrassai Livaï et posa le thé à côté de lui sur la table de chevet.
(tp) : Je t'ai pris un thé comme tu les aimes.
Livaï : Merci.
Livaï buva sa tasse d'un seul coup et on discuta quelques minutes.
Livaï : Je vais essayer de m'habiller maintenant.
(tp) : Tu veux de l'aide ?
Livaï : Non ne t'en fait pas
Livaï amorça un geste pour se lever mais il abandonna vite fait quand il poussa un cris de douleur.
(tp) : Laisse moi t'aider je te dit !
Livaï se laissa faire, je lui enlevai ce qui lui restait de vêtement et les échangeai contre les propres.
Livaï : Je suis desolé de t'infliger ça .
(tp) : Ben tu sais, c'est pas la première fois que je te déshabille.
Je l'embrassa et me coucha côté de lui.
(tp) : Ça te fait pas mal là ?
Livaï : Non ne t'inquiète pas ça va. Merci de prendre soin de moi.
(tp) : C'est normal, je t'aime.
Livaï : Moi aussi.
Livaï m'embrassai et ses mains commença à devenir pressante. Mais on ne pu pas continuer, l'état de Livaï ne nous le pardonnait pas. Vers 11h45 Jean arriva dans l'infirmerie.
Jean : Salut vous deux, (tp) tu dois venir au réfectoire pour manger.
