Livaï x Reader

L'audience

Point de vue Livaï :

Je décida de revenir auprès de ma copine, je monta en compagnie de Hanji et elle rejoigna la chambre voisine de la miennes. Quand j'entra je trouva (tp) assis sur le bord du lit à contemplait la lune par la fenêtre, quand elle entandit la porte s'ouvrir elle tourna la tête vers moi.

(tp) : Tu étais où ? Ça va faire trois heures que tu es parti...

Livaï : J'étais parti faire un tour... Mais tu es debout depuis trois heures ?

(tp) : Je ne te sentais plus dans notre lit alors ça m'a réveillé.

Je remis mes vêtements pour dormir et m'asseya à côté d'elle, je la prit dans mes bras et on se coucha pour ce redormir et se réveillé deux heures plus tard.
La semaine passa, notre relation n'avait pas évolué, on se contentait de s'embrasser le matin et de dormir ensemble. L'audience des deux abrutis ce déroulait aujourd'hui même et (tp) étais décidé à y assister, on se prépara et on se dirigea vers la salle d'audience.
Au milieu de la salle, les deux hommes assis côte à côte et sur l'estrade le juge, je m'asseya au côtés de (tp) qui étais au banc des témoins. L'audience commença et le juge commença à citer toute les choses que les deux hommes étais accusé, viols, kidnapping, trafic d'humain, violence sur mineur et adulte. Plusieurs personnes dont les filles qui avait étais enlevés passèrent à la barre pour raconter leurs mésaventures Ce fut le tour de ma copine, depuis le début de l'audience elle me serrait fort ma main, la vue de ces agresseurs la terrorisée.
Elle expliqua toute l'histoire en détail, entandre une nouvelle fois cette histoire me tord les entrailles. Sa voix à un moment dérailla, elle se mit à pleurer, j'amorça un geste pour m'approcher d'elle mais on m'ordonna de me rasseoir. Puis le juge commença à lui poser des questions, plus bêtes les unes que les autres.

Juge : Donc vous dites que vous pouviez vous défendre mais que vous vous êtes laissez faire ? Ce n'est pas un viol dans ce cas.

(tp) : Je me suis laissé faire pour la réussite de la mission sans ça aucune des filles n'aurait étais sauvé ! J'ai protesté, je ne voulais pas je vous le jure...

Son regard embuée de larmes se tourna vers moi, mais je ne pouvais rien faire.

Juge : J'en conclue donc que ce n'est pas un viol, prochain témoins !

(tp) éclata en sanglot, alors que les gardes me retenait je marchais en direction de ma copine, je la prit immédiatement dans mes bras puis on se dirigea vers la sortie. Je regarda les deux hommes, ils riaient. Je ne réussis pas à me contrôler, je m'élança vers eux et je les frappa tout les deux. Deux gardes m'attrapèrent par les bras pour m'écarter. Sous le coup de la colère je n'avais pas vu ni entendu, Jean tenait le juge par le col en hurlant que ce n'étais qu'un enfoirés ce que je pensais moi aussi. Deux autres gardes éloigna Jean, il me regarda et on comprit tout les deux qu'on venait de se mettre dans la merde.
Ma copine elle étais revenu vers moi, elle pleurait encore mais elle semblait s'inquiéter pour moi. Elle me regardait les mains qui même si je n'avais pas beaucoup frappée, j'avais frappé fort et mes mains étais tachés du sang des deux enfoirés.
Les gardes m'emmena avec Jean en dehors de la salle suivi de (tp).

Livaï : Pourquoi ta fait sa ?!

Jean : Et toi ?!

Livaï : Tu n'es qu'un simple soldat, un pion comme tout les autres ! Tu t'es attaqué au juge, on peut t'enfermer pour ça ! Moi je n'ai frappé que les criminels et on ne risque pas de m'enfermer, l'humanité est apparemment perdu sans moi !

Jean : Je m'en fout ! Ce n'est qu'un enfoirés de première !

Soldat : La ferme ! On vous emmène au cachot en attendant.