L'incendie

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Point de vue (tp)

Le lendemain matin je me réveillai toujours le bras de Jean autour de ma taille. J'entrepris de sortir du lit sans le réveillé et ce fus une réussite, je commença à m'habiller et dès que j'entandit la sonnerie du petit-déjeuner, je réveillaiJean.

(tp) : Tu serais pas le croisement d'un cheval et d'une marmotte ?

Jean : T'en perd pas une pour me taquiner tête de mule.

(tp) : Jamais.

Jean : Mais dis donc ta l'air bien en forme pour une mule qui a eu besoin d'un gros câlin pour l'empêcher de pleurer cette nuit .

Il me regarda avec sa tête de fripouille , je lui tira la langue.

(tp) : C'est parce qu'aujourd'hui je vais aller voir Livaï et m'exuser

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(tp) : C'est parce qu'aujourd'hui je vais aller voir Livaï et m'exuser.

Jean : Oui trop fier de toi !

J'adorais ce côté de Jean, il m'aimait mais il m'encourageais dans ma vie amoureuse.

Jean : Bon on descend j'ai une faim de loup, je pourrais avaler un cheval !

(tp) : Cannibale

Il me pinça les côtes et je me mis à rire jusqu'à en avoir mal au ventre.

Jean : Bon aller tu vien ?

Je suivit Jean jusqu'au réfectoire et on mangea que tout les deux.

Jean : Alors tu compte aller le voir quand ?

(tp) : Tout à l'heure après le repas de midi.

Jean : Ça me semble une bonne idée. Sinon tu veux faire quoi ce matin vu qu'on ne travaille pas aujourd'hui ?

(tp): Je vais aller prendre une douche puis aller lire je pense.

Jean : Okay, moi je vais repartir dormir car à cause d'une certaine personne que je ne citerai pas ma nuit à étais compliquée.

On continua de parler jusqu'à 10h passer, je me dirigea ensuite vers les douches communes et pris une longue douche. Vers 11h j'allai dans la chambre ou Jean se reposait et lisai un de mes livres, c'étais celui que Livaï m'avait offert lors de notre sortie à Trost...

Jean : (tp)...

(tp) : Heu oui ?

Je remarqua alors qu'il dormait, mais quel rêve il fait pour dire mon nom d'une façon si... bizarre ! Il continua et je sortis de la chambre extrêmement gêner par ce que je venais d'entendre.
Après ce moment de gêne je décidai d'aller lire dans une salle vide, je trouvai une petite salle à l'étage du dessus qui faisait la taille d'une chambre mais qui n'avait pas étais aménager, il y avait un petit fauteil et un bureau, je m'installa et lisai un bon moment puis je m'assoupis la tête posé sur le bureau .
Je fus réveillé par un drôle de bruit je sortis de la pièce et vis un feu d'une hauteur folle dans tout le couloir, je courut en direction de l'étage d'en dessous. Je m'arrêtai devant la chambre de Jean, j'entrai et bête comme je suis je refermai la porte derrière moi. Jean n'était pas la ! J'accionai la poignet mais elle ne s'ouvrait pas je tira de toute mes forces dessus et la poignée me resta entre les mains. Je tapa avec mon épaule sur la porte dans l'idée de défoncer la porte mais petite comme je suis je n'y arriva pas. J'ouvris alors la fenêtre et voulu sauter, mais la chambre de Jean étais beaucoup trop haute et il n'y avait rien en bas pour me réceptionner. La chaleur devenait de plus en plus insuportable et j'enlevai mon haut, me restant qu'un simple débardeur à bretelles. La fumée commença à envahir la pièce, mon champs de vision commençait à se rétrécir.

Livaï x Reader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant