Livaï x Reader

Nouvelle Expédition

Toute la semaine je m'entraîna durement, je redoutais l'expédition, mais je ne le montra pas à Livaï car il s'inquiétait déjà de me laisser partir. Il arrivait désormais à marcher sans aide, mais il étais impossible pour lui de reprendre l'entraînement, il passait ses journées à s'ennuyer et le pire dans tout sa c'est que l'on ne pouvait pas punir Eren pour ce qu'il avait fait, nous avions besoin de lui et de sa force de titan pour les expéditions et entraînement. Livaï m'avait expliqué tout comment faire pour diriger une escouade, il me répétait en boucle que si sa devenait trop dangereux je devais laisser faire les autres, bien sûr je n'écoutai pas ce conseil.
Le matin de l'expédition, je me réveillai dans le lit de l'infirmerie, Livaï dormait toujours et je ne le réveillai pas. Je me préparai en silence et descendit prendre mon petit-déjeuner, dans le réfectoire j'allai m'assoir avec Jean qui semblait anxieux.

(tp) : Ben qu'es qui t'arrive, on est déjà parti en exploration.

Jean : Je sais, mais la dernière fois on a failli te perdre.

Je lui attrapa ses mains posés sur la table, elles tremblaient. Je le regarda dans les yeux, je vis qu'il avait les yeux remplis de larmes.

(tp) : Te met pas dans cet état la pour ça, la dernière fois je l'ai fait pour sauver Livaï mais ça ne veux pas dire que cela va se reproduire aujourd'hui.

Jean : Je le sais tout ça, mais si tu mourrais, je n'aurais plus personne, Marco nous a déjà quittée et je ne m'en suis toujours pas remis.

Ne sachant pas quoi dire pour le réconforter je le prit dans mes bras, il avait raison , on ne s'en ai jamais remis. Jean avais sa tête enfouie dans mon cou et je sentis ses larmes qui coulait.

Connie : Bah alors Jean, on joue les sentimentales ? *rigole*

Jean ne répondit pas, il se redressa, essuya ses larmes et parti.

Connie : Non mais attend Jean ! Je rigolais !

(tp) : Ne le suis pas, ça fait 5 mois que Marco est mort aujourd'hui, il a besoin d'être seul, et il a peur de me perdre aussi.

Connie : Ah euh désoler...

Je mangeai mon petit-déjeuner en silence accompagné de mes camarades. Vers 9h30 on se dirigeai vers l'écurie et préparai nos chevaux, on mit ensuite notre équipements tridimensionnel. Une heure plus tard on étais prêt à sortir, les habitants de Trost étais présent aussi, certains nous acclamer et d'autre nous lançait des pierres. Les portes s'ouvrit et le bruits des sabots qui galopent sur le sol se fit rententir dans tout Trost.
Après plus d'une heure sans croiser de titan nous arrivions dans un village ravagés, je donnai ordre à mes hommes de chercher la moindre trace de titan. Un silence religieux reigné, j'avancais au pas, j'avais un mauvais préssentiment je descendis de cheval et attachai mon équidés à un poteau. Après plusieurs minutes de silence le bruit d'un fumigène retentit, il était noir, c'était un déviant, je remontai à cheval et galopai en direction de l'alerte donné. Se dressa devant moi un titan de 15m, il sautait de mur en mur et ignorai mes coéquipiers qui tentait de l'abattre. Je m'élançai sur le titan, m'accrochai avec mon équipement à son épaule, désormais debout sur son cou je trancha nettement la chair, le titan s'effondra. Mon escouade allait parfaitement bien sauf Petra qui avait tordu son bras, je lui appliquai les premiers soins et lui bandai son bras.
Le reste de l'expédition se déroula sans autre titan déviant, les pertes furent de nouveau nombreuse.
On rentra ensuite, notre arrivée à Trost fut pirent que les fois précédentes, on n'entandait même plus les acclamations d'admiration on n'entandait que le mécontentement des habitants. Je cherchai Jean du regard mais en vain, la panique s'empara de moi.

(tp) : Connie t'aurait pas vu Jean ?!

Connie : Non désoler, je n'étais pas avec lui pendant l'expédition.

(tp) : Mikasa ?

Elle me fit non de la tête, je me dirgeai vers le Major Erwin Smith.

(tp) : Major Erwin, Jean Kirsten est-il en vie ?

Erwin : Heu (tp), je ne sais pas, certains corps n'ont pas était retrouvé, si il n'est pas parmi nous, ni parmi les cadavres,sont corps est restés derrière les murs ou dans un titan.

Les larmes me montèrent au yeux. Non pas lui, pas mon meilleure amie ! Je bousculai tout le monde dans la foule et arrivai à l'endroit où étais identifier les morts, je demandai Jean mais aucune trace de lui. Il n'était nulle part, pourquoi lui ? Je m'éffondra par terre, me donnant en spectacle devant tout le monde, je criais, pleurais, frappais le sol.