𝗖𝗛𝗔𝗣𝗜𝗧𝗥𝗘 𝟮𝟳.𝟭

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J'enfile l'un de mes jeans que j'avais laissé ici, il y a quelques mois déjà, ainsi qu'un t-shirt noir qui appartient à Draven

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J'enfile l'un de mes jeans que j'avais laissé ici, il y a quelques mois déjà, ainsi qu'un t-shirt noir qui appartient à Draven. Il m'a tellement manqué que je ne vais plus pouvoir me détacher de lui pour les prochains jours.

J'enfile mon perfecto noir puis mes baskets et rejoins mon mari dans le couloir. Il embrasse mon front avec toujours ce sourire d'idiot qui me fait craquer et puis prends ma main. De l'autre, il tient son sac de moto. C'est comme au bon vieux temps, et sans mes conneries, on n'en serait pas là. On n'en serait pas à devoir faire attention à deux connards qui veulent notre fin.

Certes la lettre de Marco étaient dure, mais au moins, je sais que ce sont de vrais paroles, que je ne peux faire confiance qu'aux personnes de cette maison. Je n'aurais pas dû vouloir retrouver mes parents et encore moins croire ce que m'a dit Carmelo, Draven n'aurait jamais fait une telle chose.

Nous nous approchons de la moto de Draven. Il me tend un casque et son sac, j'enfile la protection sur ma tête puis agrippe le sac avant de monter derrière mon mari. Matthew, Carter et Stella quant à eux, monte en voiture et partent en premier.

Draven fait vrombir le monteur puis fais une levée comme il le faisait à chaque fois. Je souris en le serrant contre moi et nous partons direction le circuit de cross. Nous slalomons entre les voitures et doublons même nos amis qui ne mettent pas longtemps à nous retrouver.

Je lâche la taille de Draven et ouvre grand les bras en tenant fermement son sac entre mes doigts. Je ferme les yeux et m'imprègnes du soleil qui réchauffe à peine les températures hivernales. Des voitures nous klaxonnent mais nous ne les écoutons pas et roulons toujours de façon inconsciente. Je reprends le corps de Draven entre mes bras et puis sens sa main se poser sur la mienne. Un sourire immense vient s'étaler sur mes lèvres.

J'aime ce garçon et plus jamais je ne l'abandonnerai.

𝗟𝗜𝗙𝗘 𝗦𝗬𝗡𝗗𝗥𝗢𝗠𝗘 𝟮Où les histoires vivent. Découvrez maintenant