𝗖𝗛𝗔𝗣𝗜𝗧𝗥𝗘 𝟭𝟲.𝟭

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Les jours passent et chaque jour, Gaby et nos amis restés aux US nous envoient des infos sur l'évolution du plan. Tout est bientôt prêt pour que nous allions récupérer Ella, plus personne ne peut attendre. Stella et Matthew se reparlent peu à peu, je savais bien que ce "break" n'allait pas durée longtemps, l'un comme l'autre, ils s'aiment quoiqu'ils aient pu faire. Stella retrouve de plus en plus son sourire et Matthew sa joie de vivre. Les choses sont enfin entrain de rentrer dans l'ordre, il ne manque plus qu'Ella et tout sera parfait.

J'enjambe ma moto afin de rentrer à la maison, cet après-midi, j'étais parti faire quelques petits entrainement au cross. Bien évidemment, Profaci était là. Nous n'avons cessé de nous lancer des regards noirs, je crois qu'Ella n'était pas là et c'est tant mieux. Je ne l'aurais pas vraiment supporter.

Je laisse chauffer ma belle bécane noir de ville, lorsqu'Enzo fait son apparition devant moi. Je lève les yeux au ciel en balançant mes gants sur mon compteur. Qu'est-ce qu'il me veut celui-là ? Je n'ai pas envie de me battre maintenant.

- Vous comptez partir quand ?

- Quand je l'aurais décidé. L'Italie est mon pays natale Profaci.

- Peut-être mais tu n'es plus vraiment la bienvenue dans le coin Brewer, clame-t-il arrogamment.

Je laisse un rire noir m'échapper en détournant un instant mon regard du sien, puis recentre mon attention sur son regard. Il pense vraiment qu'il va gagner cette guerre ? Les Brewer gagnent toujours, peu importe l'adversaire.

- Si j'étais toi, Enzo, je pense que je me ferais plus petit parce que crois-moi que lorsque j'en aurais l'occasion, tu vas crever, dis-je avec un sourire sadique. Si j'étais toi Enzo, je m'éloignerais d'une famille comme la mienne.

Sur ces mots, j'enfile mes gants en deux temps trois mouvement, puis pars en levée. Enzo se décale juste à temps pour ne pas que je l'écrase, ce serait dommage dites-moi.

Je quitte le circuit et roule très rapidement jusqu'à la maison. Je range ma moto dans le garage aux cotés des autres et de nos voitures, je pose les clés et entre dans la maison. Instantanément, une Stella surexcitée me saute au cou, sur le cou, je ne comprends pas? je me dis que c'est son anniversaire ou un truc du genre et puis elle me dit ces quelques mots :

- Le plan est prêt.

𝗟𝗜𝗙𝗘 𝗦𝗬𝗡𝗗𝗥𝗢𝗠𝗘 𝟮Où les histoires vivent. Découvrez maintenant