Mon histoire || Aidan Gallagher ||

#10

(~ lire le NDA à la fin s'il vous plaît)

~Papa avait raison je suis aussi faible qu'avant je n'ai pas réussi à faire face à Zoe, j'ai  pas réussi à lui faire entendre raison. A bout de force de m'endors les joues trempé et les muscles engourdis.~

On me tire de mon sommeille j'entre ouvre mes yeux qui son collé a cause de mes larmes et je vois mon père.

Moi: Quelle heure il est?

Ma voix déraille, sa me surprends moi même.

Papa: il est 16 heure.

Moi: aussitôt on vas chez les Gallagher seulement pour le dîner. J'ai le temps de dormir.

Papa: tu n'as pas manger. T'as pas faim?

Il me parle doucement, il s'assoit sur le bord de mon lit et me caresse doucement les cheveux.

Papa: C'est Zoe?

Moi: comment tu sais?

Papa: on est mercredi, normalement vous serez entrain de ranger ta chambre en musique et en chantant jusqu'à en faire pleuvoir.

Quelque larmes m'échappent encore. Je m'assoie à côté de mon père. Je pose mes coudes sur mes genoux.

Moi: j'ai perdu la bataille mon commandant. J'ai perdu mon meilleur soldat, ma meilleur amie.

Papa: je t'es réveillé plus tôt car j'ai quelque chose à te montrer. Mais d'abord mets des chaussures

Je mets rapidement des veilles bottes, il faut à tout pris que je m'en rachète. Il se lève et part dans le couloir moi sur ses talons. Mon père s'arrête en plein milieu de couloir.

Papa: je voulais te montrer cette endroit pour ta réussite au BAC quand tu partiras à la FAC. Mais tu en a plus besoin aujourd'hui.

Il pointe le plafond. Je regarde et c'est la trappe pour monter au grenier. Papa m'a formellement interdit d'y monter. Il ouvre la trappe avec un sorte de perche.

Moi: il y a des araignées?

Papa: non je passe régulièrement le ménage dedans.

Moi: je te préviens il y en a, ne serait-ce qu'une seule. Je pare à Toronto jusqu'à mes quarante ans.

Il rigole puis on monte. Arriver en haut il y a plein de clous et des planches parterre.

Papa: Fait attention ou tu marches.

Moi: merci mais j'avais vue.

Le grenier est en deux partie. La où l'on est avec un mur, me demander pas je ne sais pas comment il tient, il y a un mur mais sans porte juste un rideaux bien sale pour rester poli. Papa vas vers se « rideau » et il passe dans l'autre pièce. Je le suit et je voit une ofrenda (si vous avez vue coco vous savez c'est quoi. Aussi non c'est une genre d'étagère en pyramide où on pose des photos de personnes mortes) avec plein de bougie pour illuminer la pièce.

Moi: C'est qui toutes ces personnes?

Papa: se son mes compagnons de guerre. J'ai gagné la bataille avec c'est personne mais certain ce sont pris des balles donc ils sont tomber dans le coma, il me montre des photos avec des gens dans des lits d'hôpitaux, d'autre qui sont morts sur le from, il me montre des vielles photos avec des gens et à côté de celle-ci il y a un croix religieuse, et enfin des personnes souvent mes mentors sont parties à la retraite.