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⚠️ JE TIENS À PRÉVENIR QUE LE DÉBUT DU CHAPITRE PARLE D'AGRESSION ET DE SUICIDE. MIEUX VOS PRÉVENIR QUE GUÉRIR ⚠️

~Après dix minutes de câlin
il me propose de faire du sport avec lui. Je me mets en tenue de sport qui est un teeshirt et un legging. Comme posséder je lève mon teeshirt et je regarde mon côté droit de me abdos dans le miroir. Mes yeux se brouille à la vue de mes brûlure et cicatrice...~

Mon père remonte les escaliers sûrement parce qu'il se demande se que je fais. En ouvrant la porte mon père me regarde et son visage est baigné par la tristesse. Il se place derrière moi en posant ses mains sur mes épaules en les caressants. Il murmure.

Papa: Tu ne m'a jamais dit de qu'il c'est passer.

Mon père et sure que je ne lui répondrai pas. Les larmes m'échappent encore une fois, me remémorant la douleur du briquet ou de la lame. Je sens le besoin de lui parler donc je prends une grande inspiration et commence mon histoire pour la première fois.

Moi: l'année de troisième mon collège et Los Angeles Vallet collège nous étions «rival» ,et, un jour je-j'ai supplié mamie de me laisser aller au parc ou les troisième des deux collège s'affronter mais s-seulement avec les mots. On ne s'est pas touchée. Mais un moment Chloé je me rappelle mots pour mots. Elle a dit à Zoe et à Sam qu'il n'étaient que pourriture et qu'ils devaient allé au suicide j-je me suis... énervé et l'ai encore plus rabaissé qu'elle l'a fait. Vers 17 heures en passant...

Je m'arrête de raconter et je baisse la tête je me sens faible c'est pour sa que je ne le raconte jamais, seulement à Sam et Zoe comme d'habitude. Mon ancienne moi ne me représente en aucun cas. Mon père me fait une mini pression sur les épaules pour ne pas me brusqué mais pour m'inciter à continuer.

Moi: en passant dans une petite ruelle Chloé et deux filles avec elles m'on plaquer au sol et... Chloé, la goutte de trop j'explose en larme et je me réfugie dans les bras de mon père qui me frotte le dos en me disant des mots doux se qui me donne le courage de continuer, et Chloé à sortie un briquet et un couteau et elles ont co-commencer à me mu-utiler.

Papa: et c'est là que le voisin t'a trouvé en train d'agoniser dans ton propre sang.

J'hoche seulement la tête contre son torse n'ayant pas la force de parler.

Papa: Pourquoi ne pas en n'avoir parler.

Moi: étant la fille d'un militaire sa fait pitié et je-je ne suis plus là même personne... qui était failble maintenant je suis forte plus du tous la même.

Papa: des fois on croix avoir changé alors que c'est seulement une couverture.

Moi: qu'est-ce que tu veux dire?

Papa: tu veux te persuader d'être forte mais... quand la vérité vas te frapper sa sera un vent glacial.

Moi: Ouais c'est se qu'on verra. Bon est se sport on le fait?

On descendent les escaliers et sous ces derniers il y a une porte qui mène à une grande salle. C'est là où on fait notre sport il y a tout sorte de machine: un punching ball, un tapis de course, des barres à traction et bien sûr des altères. Pourquoi payer une salle quand on en a une chez soi?

Mon histoire || Aidan Gallagher ||Où les histoires vivent. Découvrez maintenant