She was my sister

Lara O'Free [ 1]

Lara se regarda dans le miroir. Une semaine, une semaine que la rentrée était passé. Et elle aussi elle avait du reprendre les cours et ont lui épargnaient rien. Potion, histoire de la magie, arithmétique, métamorphose, botanique, soins aux créatures magiques, cours de duel, cours de sortilèges, cours de défense contre les forces du mal. Elle avait même des matière non étudier à Poudlard, économie, anglais, sciences magique, mathématiques, latin et français. Si les familles nobles ou richesses d'Écosse méprisaient tout ce qui avait un liens avec la luxure, les bon sentiments et la paraisse, il en était different du savoir. Tout bon Sorcier qui se respectait devait avoir une culture général élevé, devait savoir gérer des affaires, et biensur savoir bien parler.

Et par conséquent Lara parlait le gaélique écossais comme sa famille, l'anglais évidement, le latin et le français. Elle avait biensur des connaissance en mathématiques et était une bonne duelliste.
La jeune fille, se regarda dans le miroir. Elle ne se trouvait pas spécialement jolie, mais le reste de sa famille ne cessait de dire le contraire. Elle avait certes un prénom d'étranger mais sa famille n'avait pas mit longtemps à la déclarer comme la plus belle d'entre toute. Le visage triangulaire, les même yeux que Lord O'Free, un nez presque enfantin, des cheveux roux, des lèvres pulpeuse, et des sourcils si parfait que l'on aurait dit qu'il était dessiné, elle était tout simplement ravissante.

Aujourd'hui en ce samedi, elle n'avait pas spécialement de tâche à accomplir, ses devoirs étaient fait, son grand-père ainsi que sa mère sa tante et son oncle étaient partis et ne reviendraient que tard le soir. Ses cousines et ses cousins avaient pour tâche de gérer les affaires familiales en l'abscence de Lord O'Free. Ce qui voulait dire parcourir toute l'Écosse aller d'entreprises à entreprise car non stupide la maison O'Free possédait depuis plusieurs décenni plusieurs compagnies dans le monde moldu. Le textile et l'imprimerie. Les imprimantes O'Free étant un gage de qualité et d'efficacité pas seulement sur les ils britanniques, mais un peu partout dans le monde.
Dans le monde sorcier les O'Free n'en n'était pas moins présent. Sentant l'énorme avantage financier, ils n'avaient pas hésité une seul seconde à faire collaboration avec la maison Potter par le passé. Les Lord Potter étant toujours considéré comme les plus grand commerçant de l'Histoire de la magie britannique.

Ils n'hésitèrent pas non plus par le passé à collaborer avec les Lord Ollivender, possédant dans le nord de l'Écosse, de grande plantation de bois dit à baguette. N'ayant aucun scrupule à employer bon nombre de familles de sorciers pauvres en leurs déversant une sommes ridicules. Mais ce monopole de la baguette magique s'éteignit en mille-huit cent quarante lorsque la famille O'Free , inspiré par les moldu décidèrent de créer des logements sociaux exclusivement sorciers, pour pérenniser cette affaire florissante. Les Lord Ollivender furent les premiers a les soutenir bien entendu. Car en plus d'éviter de ce rendre eux même dans des contré sauvage pour trouver les bois adéquat et donc de risquer potentiellement leurs vie, cette nouvel solution allait leurs apporter énormément de prestige et de richesse.

Mais je gouvernement magique mit fin à cette collaboration fructueuse, en partie du aux grandes maisons conservatrices, tel que les Malfoy et les Black qui selon eux, le seul village exclusivement sorcier se nommait Pré-Au-Lard et porterait toujours le nom de Pré-Au-Lard, officieusement le ministère craignait de voir son influence détruite, mais ce que l'on racontait entre deux couloir devait forcément être que pure fantasy...

Les Ollivender durent de nouveau trouver eux même leurs bois à baguette, et leurs empires commerciales s'effondra dans le même temps.
Ce fut à cette époque que les O'Free quelques peu refroidi, décidèrent d'éviter l'angleterre et de la laisser à ses familles de consanguin. Ainsi se tournèrent-ils vers l'Irlande, l'Islande, les pays Scandinaves et quelques pays européens.