Pétunia se blottit dans son lit. On était le trente juin mille neuf cent quatre-vingt-dix-sept et pour la première fois depuis longtemps elle n'avait pas envie de ce lever. Dans une semaine, son neveu reviendrai et ce sera probablement la dernière fois qu'elle le verrait avant longtemps.
Il y avait quelques années cela aurait suffit à la faire pleurer de joie aujourd'hui elle en pleurerai certes mais, elle pleurerai toutes ses années qu'elle ne pourra jamais rattraper. Se tournant elle vit son mari dormir aussi bien qu'une momie, elle ne put s'empêcher de sourire. Se redressant elle jetta un coup d'oeil à son réveille, cinq heure trente du matin, Vernon ne se lèverai que dans une heure. Inspirant longuement elle se drappa dans son peignoir et descendit. Il y avait quelques choses de plus, elle ne savait pas quoi mais elle avait une drôle impression. Et pour une raison qu'elle ignorait elle était à peu près sur que le fait que c'était la dernière fois qu'elle accueillait son neveu n'était pas la seul raison de son mal être.Arrivé en bas des escaliers, elle découvrit que les lumières étaient allumé au salon. S'approchant doucement, elle découvrit son fils une tasse de café en main observant par la fenêtre le ciel encore sombre.
- Toi aussi tu ne dors pas ?
Murmura Dudley en se retournant. Pétunia haussa des épaules et s'approcha de son fils et posa un baisé sur sa joue droite.
Mon tout petit tu sais très bien que j'ai toujours eu du mal à dormir.Pour toute réponse elle déclara.
- Je sais pas j'ai comme l'impression que quelque chose ne va pas
Oui c'était ça... Quelque chose ne tournait définitivement pas rond.*
- Debout pourriture.
Hurla un sorcier en balançant un coup de pied bien placé dans ses côtes pour s'assurer que le prisonnier se lève dans le plus bref délais.Grindelwald se redressa et fut pris d'une quinte de toux. .
- Quel jour on est ?
Croissa le mage noir alors que son gardien posait une gamelle en ferraille remplit d'une immonde mixture constitué d'avoine , d'eau et de fruits avariés.- On est le trente juin fils de pute maintenant boufe. Putain si tu pouvais crever rapidement sa m'arrangerais. Ta foutu prison me tape sur le système.
Puis le gardien se pencha et cracha sur cette espèce de pudding et éclata de rire.
- Bonne appétit, il s'inclina, et murmura avec un sourire espiègles, My..."My brothers."Fit-il avec son accent d'homme de l'est.
Puis il parti en un grand éclat de rire.
Grindelwald frissonna mais pas par peur de son nouveau geôlier qui lui avait fait comprendre à quel point il le haïssait.- Tu me reconnais pas ?
Avait-il dit.
Gellert avait secoué de la tête, il était peut-être vieux mais pas au pont d'oublier un visage et sa face grisonnante ne lui disait rien du tout.
Mon père est né à Nurmengard. Dans votre château. Il a vécu ces premiers années ici jusqu'à votre chute. Sa mère il ne l'a voyait que très rarement et lorsqu'il l'a voyait, elle se faisait frappé pour son incompétence.
Un peu plus de cran Queenie, sois pas si apathique, j'aurais du prendre ta sœur.Devant l'air horrifié du prisonnier son geôlier avait éclaté de rire.
- Gregor Kovalski, votre nouveau cauchemar.
Et il avait tenu parole ce fils de pute. Il le réveillait quand bon lui semblait pissait dans sa gamelle, l'invectivait, mais étrangement cela n'avait pas bien d'effet sur sa personne. Il trouvait juste ironique d'être enfermé dans son propre château transformé en prison et de se faire insulter par le petit fils d'un non-maj, gros , laid et d'une intelligence limitée.
La vie était décidément la pire des chiennes décidément.Mais ce n'est pas lui qui le fit frissonner.
Non. Fermant les yeux il fit la paix à l'intérieur de lui même et tentant de chercher l'origine de son mal être. Ne le trouvant pas il rouvrit les yeux. Quelque chose n'allait pas, il avait l'impression que quelque chose de sombre allait s'abattre sur le monde.
Se recroquevillant sur lui même il leva les yeux mais ne vie que des pierres.
Qu'est-ce qu'il donnerait chair de sa peau pour savoir ce qu'il se tramait là dehors.*
Scrimgeour marchait dans les rues de Londres sa crinières poivres et sel, son costume trois pièces impeccable suscitèrent des regards admiratifs. En ce jour de trente juin mille neuf cent quatre-vingt-dix-sept il avait fort à faire. Ces neuf mois ayant succédé son accession à la tête du pouvoir avait été si mouvementé. Mais de toute les choses qu'il avait été témoins la chose qu'il n'avait toujours pas digéré était le fait qu'après plusieurs mois d'échec il avait été obligé de céder sous la pression et de demander à Dumbledore d'enlever se foutu draps.
Dumbledore....
Il n'y en avait toujours que pour ce sorcier. Jusqu'à présent il n'avait rien dit, mais à présent qu'il était ministre, il n'aspirait qu'à une chose, ne plus être sous la tutelle de cette homme. Inspirant un grand coup, il entra dans un vieille salle laissé à l'abandon, plusieurs cabinets se trouvait là. Il en entra dans un et alors qu'il s'apprêtait à tirer la chasse, les poiles de ses bras s'errissèrent d'eux même et un frisson parcourut tout son corps. Nerveux le premier ministre sortit sa baguette magique et la pointa derrière lui en se tournant, mais rien. Il était seul. Intrigué il ouvrit la porte , regarda à droite et à gauche, mais ne vit rien. Alors il se tourna vers le WC et mit ses pieds dans la cuvette, il tira la chasse et pour son grand malheur ça sensation de mal aise ne le quitta point, pis elle ne fit qu'emplifier.*
Lord O'Free contempla la photo de sa tante et un léger sourire flotta sur ses lèvres. Puis il pensa à Mcgonagall. Elle était son portrait craché.
Domnhall inspira puis observa la fenêtre, depuis quand faisait-il dans le sentimental ?Il se leva et s'approcha. L'une de ses petites filles était morte sans qu'il ne puisse rien faire. Et son corps ne sera probablement jamais rapatrié dans la demeure familiale. Et il n'avait rien dit au reste de sa famille, qu'aurait-elle put faire de toute façon ?
Rien ...
Oui c'était bien ce qu'il pensait.
Puis il se tourna et avisa un tiroir et en sortit une pipe en bois magnifiquement ouvragé. Voilà longtemps qu'il n'avait jamais touché mais aujourd'hui il ne savait pas pourquoi mais il en avait besoin.Ouvrant la fenêtre il laissa l'aire matinal pénétrer son bureau. Après avoir rempli sa pipe il approcha ses doigts et frota comme s'il s'était s'agit d'un allumette puis après quoi il souffla sur ses doigts. De la fumée s'échappa une fraction de seconde puis tout redevint normal. Après quoi il tira sur sa pipe.
Observant le ciel s'éclaircir au fur et à mesure, il soupira. Puis un panache de fumé s'échappa de sa bouche et celle-ci pendant un brève instant prit la forme d'un crâne humain.
Lord O'Free se redressa puis lâcha une nouveau panache de fumé.
Rien. Le chef de famille cligna des yeux mais toujours rien. Alors il leva les yeux vers la fenêtre et plissa ses paupières Cette sensation de malaise il l'avait déjà ressenti et pendant près d'un an. Et après cela Lord Voldemort était revenu. Et avant cela cette sensation il l'avait senti toute la journée du trente-un octobre mille neuf cent quatre-vingt-un. Ce qui l'avait poussé à croire que la magie réagissait à ce qui se passait ici bas et que seul les plus puissant d'entre eux pouvait le sentir. Ce qui voulait dire une chose, le plus puissant mage blanc du monde allait mourir.
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She was my sister
FanfictionVoldemort est de retour est à la ferme intention de recouvrir le monde magique et non magique de son idéologie radical aux penchant totalitaire. Ayant beaucoup appris de son retour des ténèbres il obtera pour une politique plus douce accusant les g...