Pour le bien de nos enfants [ 3]

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- De nos jours....
Commença Voldemort d'une voix aigu et sifflante, bon nombre de familles refusent d'envoyer leurs enfants dans l'école de sorcellerie Poudlard. Il eut même des tentative dans les années trente de créer plusieurs écoles de sorcellerie, trois pour être plus précis. Une en Angleterre, une en Irlande et une au pays de Galles.
Il cracha.
Beaucoup préfèrent enseigner notre héritage, nôtre culture, nôtre identité, le patrimoine même de ce qui constitue la gloire et la puissance de notre race, comme bon leur semble.
Lord Voldemort cracha sur le corps nue de l'inconnu qui frémis puis se mit à pleurer. C'était tout ce qu'elle pouvait faire.
Puis il repris comme si de rien n'était.
Vous me direz.... Nous faisons pareilles et depuis plusieurs générations. Bon nombre de nos famille  ont fait le choix d'éduquer chez eux leurs enfants pour les préserver, pour protéger l'intégrité de la pureté de notre sang magique.
Mais nous n'aurions pas été obligé de le faire si ces gens, non content d'avoir perverti notre société, détruit notre héritage par leur idéologie galeuse, se sont octroyé le droit de souiller nôtre école sacré, par leur présence aux relents fétides.

Plusieurs Murmures haineux suivit sa déclaration. Une sorcière se permit même de sortir sa baguette magique comme si un danger imminent pointait le bout de son nez.
Tom sourillait, il les tenait enfin.

- Laissez moi la tuer maître.

- Non elle est pour moi.

- L'honneur me reviens de droit.

Lord Voldemort sourit, puis ramena le silence en tendant la main.

- Permettez moi de vous présenter celle qui nous a cuisiné ce délicieux repas.
Tout les regards se tournèrent vers le corps nue immobilisé par un sortilège, seul sa poitrine se souleva plus rapidement, trahissant son immense anxiété.
Jusqu'à très ressèment, Anastasia Sprinkle travaillait au ministère de la magie. Luttant pour je cite, la destitution de tout titre de noblesse, jugé xénophobiste et d'un autre temps.
Ah ce moment un murmur de mécontentement se répandit dans toute la pièce. Mécontentement qui ce changea en chuchotement furieux. L'on aurait dit un essain d'abeille furieux.
La encore une fois le seigneur de ténèbre n'eut qu'à lever sa main droite pour intimer le silence.
Activiste, reprit-il d'un ton de plus en plus en froid, et liberal, elle luttait au sein du ministère pour que les nés-moldus soient mieux considérés dans la société et pour que les parents de nés-moldus aux yeux de la loi soient considérés comme des sorciers à par entière.

Il eut une explosion de crie et de protestation. Voldemort renifla et cracha à nouveau sur le corps d'Anastasia. Bellatrix l'imita , Bientôt suivit des Mcnair, de Rosier, de Crabble, Goyele, et ainsi que beaucoup d'autre sauf Severus qui se contenta d'observer le visage placide et le regard vide de toute expression. Les cracha degoulinèrent sur son corps, gouttant de ses seins , parcourant son visage. Les larmes ne cessèrent de couler sur son visage.

Puis soudains Voldemort se redressa surprenante tout le monde.

- Il est là le vrai danger, mes frères et sœurs.
Elle est là la maladie contre laquelle nous luttons depuis des décennies.
Nous luttons pas contre les sangs-mêlés, nous nous battons pas contre les moldus, pas vraiment; pas encore. Nous luttons contre des terroristes bien plus dangereux.
Il fut un temps où Gryffondor et Serpentard , Serdaigle et Poufsoufle travaillaient mains dans la mains dans une parfaite harmonie.
Je veux revoir cette harmonie.
Je veux revoir Serpentard et Gryffondor travailler mains dans la mains. Nous sommes soumis aux codes international du secret magique depuis des siècles. Nous rasons les murs par peur d'être découvert.
Mais que sommes-nous en somme ? Des apatrides, des mendiants sans terre dispersé de par le monde. Des moins que rien. Notre race mérite mieux que cela. Elle mérite de vivre dans un état souverain, soumis à personne et par-dessus tout brillant de par le monde de par sa grandeur et sa gloire. Une patrie que les moldus apprendront à craindre, forte et dominatrice. Il est temps. que notre race sorte de l'ombre. Il est temps de donner une nation à notre peuple.
Et ont nous a déclarer la guerre pour cela.
Ces faibles nous ont déclaré la guerre par lâcheté, ils pensent et espèrent la même chose que nous. C'est pas nous qui avons déclenché ce conflit.
Il frappa du poing sur la table.
MAIS EUX !

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