Monsieur le directeur [2]

104 6 31
                                    

- Un simple malaise dû au surplus d'émotions, vous n'êtes pas la première dans ce cas là Mrs, veillez juste à vous reposer et éviter les écrans d'accord ?

- Oui monsieur.
Suite à l'évanouissement de Pétunia, Vernon avait insisté pour appeler un médecin malgré les refus insistant de son épouse. Ce fût ainsi que Pétunia se retrouva , bon gré malgré, cloué à une chaise à observer le médecin l'osculter.

Une fois partie, Pétunia s'était relevé, elle n'avait jamais aimé les médecins et plus elle avançait en âge plus elle les évitait plus que possible. Comment pouvait-on faire confiance en ces hommes et femmes, vêtu de blouses blanches, équipés de leurs matériels de  tortures ?

Ce qu'elle n'aimait pas paraître faible au yeux des autres. S'évanouir et puis quoi encore. Lors de sa prime jeunesse elle avait méprisé ceux qui affichaient leurs sentiments en publique, qui en faisait toute une comédie. Selon son père, l'on devait garder sa peine pour soit et il n'y avait pas plus déshonorant que de l'afficher aux yeux du monde entier.  Si toute sa vie elle avait essayé de vivre, selon les principes de son paternel, elle y réussira plus ou moins bien, son inquiétude pour son fils prenant le dessus.

- J'aimerais lire la gazette Harry.
Déclara-t-elle. Cherchant un masquer plus que possible les tremblements dans ça voix.

- Pétunia...
Le médecin à dit que tu devais te reposer.
Tenta maladroitement son neveu.

- Il a raison.
Ajoutèrent simultanément père et fils, ce qui valut un long silence. Puis Mrs Dursley tendis la main.

- Je me moque de savoir ce que le médecin pense, la gazette est le seul média qui sait ce qui c'est réellement passé, qu'elle nous raconte la vérité, je m'en moque, mais ils en dirons plus que ce qu'ils nous on put bien nous dire à la télé. Harry on a le droit de savoir ce qui ce passe.
Ce fût sur cette argument que l'adolescent céda. Il posa le magazine sur la table du salon et tous put voir en première page deux photos mouvante animé, l'une représentait l'explosion du pont. Et voir le pont exploser indéfiniment était quelque chose de très difficilement soutenable.  Puis la seconde représentait une rue marchande saccagée et une boutique en flamme où l'on pouvait y lire " chez Olivender"

En grosse lettre était inscrit :

Deux attentats dans les rues de Londre.
Les partisans de Vous-Savez-Qui de nouveau à  l'action.

S'en suivait ensuite une photo plus petite d'un sorcier assez vieux à la longue barbe argenté  au nez aquilin avec une paire de lunette en demi-lune penchée sur un dossier qu'un sorcier en costard cravate et à la crinière de lion , lui présentait. Vu l'angle de la photo, elle avait dû être prise d'un angle de mur et en catimini.
En lettre rouge était inscrit.

Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore. 
Qui est-il vraiment ?

Alors c'est à ça qu'il ressemble ?
Songea Pétunia en s'attardant sur l'image. Elle ne sut comment, mais il ne put que ressentir de l'antipathie pour ce personnage, il y avait quelque chose de dérangeant à l'observer.
Puis enfin elle lu ce pourquoi elle avait ouvert le journal.

Nous venons d'apprendre qu'une double attaque a été menée ce midi dans la  ville de Londre. Le pont du Waterloo Bridge s'est effondré sans raison apparente du à plusieurs détonations, détériorant  les maisons environnante. Causant près de cent vingt morts, dix-sept disparus et cent quatre-vingt-dix blessés dont une soixantaine dans un état critique.  Cette attaque à été menée à quelques que secondes d'intervalle avec le  sac du chemin de travers, causant six morts, vingt-quatre blessés et la disparition de Olivender.

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant