Le debut de la fin [2]

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Ce sentiment de malaise ne l'avait pas quitté de toute la journée. Et Pétunia n'arrivait pas à savoir pourquoi. Le temps était à l'image de ses sentiments, chargé en nuages, l'atmosphère lourd comme annonçant un orage qui ne viendrait jamais. Elle n'était qu'une moldu. Mais depuis le temps elle avait appris à la détecter.

- De la magie....
Murmura Pétunia.
De la magie.

                                        *

Sybill Trelawney n'avait jamais été une grande voyante c'était tout juste si elle avait réussit à prédire une seul prophétie. Alors quand Albus Dumbledore le sorcier le plus rationnelle et le plus puissant au monde était venu la voire elle n'en avait pas cru un seul instant. Alors elle avait rassemblé tout son savoir, accumulé des siècles d'héritages.  Elle avait étalé devant lui artefacts anciens, celui-ci avait secoué de la tête de tel objets ne pénétreront jamais l'enceinte de ce château pas tant qu'il était en vie du moin, avait-il ajouté, osselets, il s'était contenté de resté impassible, potions et décoctions, elle l'avait presque sentit irrité, alors elle avait sortit sa dernière carte, pierres de lunes et jeux de cartes, à ce moment il s'était levé et avait dis .

- Je vous remercie pour vos... Démonstration.  Mais je crains de devoir écrire une lettre au ministère, je n'ai pas trouvé de... professeur  pour enseigner cette matière.
Puis elle avait eux une absence ho de quelques secondes certes, mais de toute sa vie jamais cela ne lui était arrivé en présence de quelqu'un. Fort heureusement, Albus Dumbledore était tout bonnement trop bien éduqué pour pouvoir l'interroger d'avantage sur ces quelques... Désagréments.  Mais pour des raisons inconnue, il s'était montré plus ouvert à la divination, moin sceptique,  et en moin de temps qu'il ne le fallait pour le dire, elle avait été embauché.

Les années passant elle s'était tout de suite rendu compte du peux d'intérêt qu'avaient les élèves pour sa matière, alors pour donner plus de vie à son cours chaque année elle avait pris l'habitude de prédire la mort d'un élève.  Ce fut un échec monumental. Puis au bout de dix ans étaient arrivé ce gamin à cicatrice.

Un enfant bourré de magie noir, elle l'avait sentit alors qu'elle restait toujours cloîtré dans sa tour. Severus Snape étant arrivé en même tant qu'elle ne cessait de se plaindre que le collège n'avait jamais été si invivable  depuis que le garçon avait fait son apparition.  Elle ne l'avait pas encore eux dans sa classe à ce moment là, mais les événements ne purent que lui donner raison. Un trolle des montagnes, un professeur corrompu et soumis à Voldemort, un basilic pétrifiant tout ce qui n'était pas pure dans cette établissement, oui il s'était passé plus de chose en deux ans, que ces neufs dernières années réunis.  Puis était arrivé la fameuse année qu'elle avait tant attendu, celle où elle pourrait enfin voir le garçon et... Il puait.

Certes pas comme on pouvait le concevoir non.
Mais d'un point de vu strictement ésotérique, il puait.  Elle ne valait peut-être rien en don de voyance son troisième œil était probablement fermé pour toujours, mais la divination ne s'arrêtait pas qu'à voir l'avenir et Dumbledore refusait catégoriquement qu'elle enseigne cette partie là de sa matière.
Imbéciles ...
Tout cela  pour dire qu'il infectait la magie noire.

Elle avait fait par de cette découverte au directeur de Poudlard mais celui-ci était resté évasif. Alors, elle avait fait une chose qu'elle ne se serait jamais cru possible, elle s'était rendu dans la forêt interdites pour rencontrer les centaures. La seul raison pour laquelle elle ne fut pas tué était selon eux qu'elle savait percevoir le mouvement des astres sacrés, que sa triple vision était remarquable pour une sorcière.  Elle n'avait pas tout compris et n'était pas sur d'en comprendre plus aujourd'hui.  Mais ils avaient été impressionné lorsqu'elle avait fait par de ses impressions.

Puis les événements s'étaient enchainés, Potter et ses amis avaient faillit mourir une fois de plus, Black s'était échappé et elle avait reçu une augmentation de salaire.
Puis il y avait eut ce fichu tournois un vrai désastre s'étant conclué par la mort véritable d'un élève et le retour de ce taré.

L'année suivante  le ministère avait mit en place une petite dictature et cette année... Cette année puait , puait la magie noire.
Ce qui l'avait poussé à ramener ses artrfacts et ceux-ci n'avaient cessé de lui dire une chose, la magie était sur le point de connaître un grand vide, ce qui voulait dire qu'une chose:
Quelqu'un de très puissant allait disparaître.

Des Sorciers puissant il en existait quelque uns, pas mal en vérité, mais au point d'influencer sur la magie elle même....
L'Europe n'en avait produit que trois ce dernier siècle.  A sa connaissance un seul Sorcier avait cette capacité en Afrique, c'était une sorcière par ailleur et elle était directrice de l'école de sorcellerie Uagadou.  Et ses connaissances s'arrêtait là.

Alors elle avait fait ces recherches tout au long de l'année ne supportant de moins en moins cette odeur de magie noire imprégnant toute l'atmosphère. Elle en avait même parlé à Firenze qui lui avait confier avoir eux les mêmes conclusions,  enfin lorsqu'elle avait réussi à isoler toute les possibilités, passé présent et à venir, qu'elle avait glané des informations comme elle pouvait sur la directrice de Uagadou, sur Grindelwald et Voldemort, qu'elle avait observée attentivement Albus, consulté osselets, consomé une trentaine de décoctions différentes,  au bout de plusieurs mois de travail acharné elle avait enfin réussi à isoler deux nom:
Albus et Gellert. 
Cette technique était certes moins précise et plus lente que de faire confiance à son troisième œil, mais avait comme avantage de ne jamais mentir.

Fort de ces découvertes, elle s'était empressée de prévenir Albus qui n'avait cessé de l'ignorer comme si ce qu'elle avait à dire n'était que stupides boutades.  Elle le chercha  dans les couloirs en salle des professeur, était monté plusieurs fois dans son bureau avait menacé de démissionner, mais il restait aussi désintéressé et dénué de parole que ne le pouvait être et bien un tronc d'arbre... Alors elle avait renoncé jusqu'à aujourd'hui, trente juin mille neuf cent quatre-vingt-dix-sept.
Ce jour avait quelque chose de plus sombre et plus oppressant.

Alors encore une fois elle avait sortit ses carte et elle en avait tiré quatre comme le voulait la coutume. Alors était sortit en premier un serpent, une tête de mort , une tour , puis une foudre.  Aussitôt elle s'était empressée de trouver Albus qui excédé l'avait renvoyé dans ses appartements avec politesse et fermeté. Anéanti elle était descendu et avait croisé Harry en chemin. En une dernière tentative, elle essaya de le prévenir, mais lui aussi se contenta de l'éviter.

Maintenant après presque neuf mois de travaille acharné, d'essai raté, de désillusion, d'échec de rencontre infructueuses, elle avait réussi à isoler un nom , un seul nom et le pire c'était qu'elle savait où et quand il allait mourir et ce quand était... Aujourd'hui

Sybill rentra dans ses appartements et éclata en sanglots

                                    *

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