Réveillon [ 1]

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Pourquoi avait-il accepté cela ? Oh certes on ne le reconnaîtrait pas il y avait veillé et puis après toute ses années il doutait que l'on puisse le reconnaître. Il aurait put refusé, il aurait dû refuser. Pourtant il suivait cette voiture. Il suivait ces .... Ces gens. L'homme était plutôt petit chauve aux yeux bleus. En somme il ressemblait à rien du tout.
Ah mon retour il va m'entendre....

Il s'était attendu à voir un morse en costume accompagné d'un porc en costume et d'une giraf en robe, il s'était attendu à voir un défilé grotesque d'animaux en costume, n'importe quoi en fait, pour vu que ce soit bien moche et ridicule.
Tout sauf ça....
Lorsque l'homme était sortie il en était demeuré béa d'étonnement. Pour commencer, il n'avait pas la silhouette d'un morse, non on se rapprochait plus d'une armoire à glace made in europe de l'est, avec ses épaules carrés, sa grande taille, ses yeux bleus océans, son nez triangulaire ses sourcils quelques peux épais, son visage aussi efféminé que ne pouvait l'être un bloc de parpin, et ses cheveux blonds tacheté de gris plaqué sur son crâne. Sans compter son costume noir lustré à souhait, et ses brogs manifestement peu utilisé au vu de leurs éclatantes brillances.

Son fils ce n'était pas mieux, bien qu'un peu plus grand que son paternel, il avait les mêmes cheveux blonds platines plaqué sur le crâne un peu plus, si bien que l'on pourrait le confondre avec.....
Mais non, tout simplement car son visage certes jolie, inspirait autant la sympathie qu'une porte blindé. Les traits moins durs, les lèvres si pincé que l'on les auraient cru inexistante, l'homme se demenda si cet organe savait faire autre chose que grimacer. En d'autre termes, il se demenda si le garçon savait sourire. Les yeux bleus légèrement plus claire étaient si dénué de toute sympathie que l'on pourrait croire qu'il allait commettre un meurtre. Son nez était plus long que celui de son père et légèrement recourbé. Ses sourcils étaient quelques peu plus epais et légèrement froncés. Même son costume trois pièces était dénué de toute couleurs chaudes. Par sa physionomie bien plus imposante que le père, on devinait que c'était le genre de garçon à ne pas trop intimider.

Un sauvage....
Songea-t-il.
Voyant ces deux ours polaires, il se demanda si la mère, aussi avenante et élégante qu'une girafe avait subit une tel transformation. Un sourire méchant commença à naître sur ses lèvres, sourire qui mourut instantanément. Perché sur le toit d'une maison tel le chevalier noir , il profitait de la faveur de la nuit pour accomplir sa mission contraint forcé évidement. Aussi faillit-il dégringoler de sa cachette tant la surprise fut grande.

La ... " girafe " qu'il s'attendait à voir était en vérité une prin... Une charmante femme. Avec sa robe bleu, sa parure de saphir courant le long de son cou, ses escarpins en cuire bleu miroitant et son chignon coiffé décoiffé. Mais le plus intrigant, était sa biche argenté brodé à l'emplacement de son cœur, elle avait quelques choses d'irrealiste sa sentait la magie à plein nez. Si il ne savait pas que s'était la tante de Harry Potter accompagné de son mari et de son fils il aurait été dans l'incapacité de les reconnaître.

Tout en surveillant la voiture en conte bas, l'homme comparait les informations qu'ils détenaient et ce qu'il savait de ce qu'il avait vu, la personne qui avait le moin changé à sa grande surprise était la femme, pourtant la mère de famille qui se trouvait dans la voiture et la femme qu'il avait en tête était radicalement différente. Et la ressemblance avec sa sœur bien plus prononcé qu'il ...
L'homme se morigena mentalement. Il avait bien mieux à faire que de penser à des choses si puéril, la pusinamilité était une chose réservé au faible.

Enfin la voiture s'arrêta au lieu de rendez-vous indiqué et comme prévu, le jeune Potter se trouvait là.
Un lieu pour le moin audacieux au demeurant, à sa place il aurait choisi un lieu bien plus sur qu'à dix minutes à pieds de l'endroit prévu. Et quel fameux endroit enfant il aurait tout donné pour pourvoir entrer dans un tel lieu, à présent il n'y remettrait un pied pour rien au monde.
Étant donné que la famille Dursley sortait de la voiture dans le même état qu'ils y étaient entrée, tout s'était bien passé. Avant de partir l'homme remarqua que tout bien réfléchi les différences entre le neveu la mère et le fils n'étaient pas si conseq...
Pff... Qu'elle importance ? Virant de bord il jeta un dernier regard vers la famille en contre bas puis disparu derrière un nuage. Assurer la sécurité de ces idiots a été l'une si ce n'était la plus humiliante tâche qu'il n'ait jamais accomplit de toute sa vie.
Avec ceci un bon whisky-pure-feu ne serait pas de trop.

*

Elle n'arrivait pas à croire qu'elle était venu. Elle avait peusé longuement le pour et le contre, les arguments négatifs l'emportant neuf fois sur dix. Elle en avait discuté avec son mari qui malheureusement ne fut pas d'un grand secours, lorsque ce dernier flerait la moindre microscopique chance de rencontrer ne serait-ce qu'une fraction de seconde un moldu son cerveau cessait de fonctionner. Molly ayant toujours eux se tempérament de Lion craignait de perdre son sang froid à l'approche du couple Dursley qui a ses yeux devraient croupir pour l'éternité à Azkaban pour maltraitance sur mineur ou au moins être traîné au tribunal. Si elle n'avait rien fait lorsqu'elle avait eut vent des traitements infligé à Harry c' était bien car elle en avait été interdite. Dans le cas contraire.... Elle ne se serait pas contenter d'envoyer une simple bleuglante.

Elle se souviendrait toujours le premier jour où ce garçon était venu à sa porte. Malgré le fait que ses fils lui aient désobéit une fois de plus, elle les aurait presque benit finalement malgré sa colère car son mari cédant à la colère sourde de sa femme au mepris des instructions de Dumbledore, ce serait rendu en personne chez ces connard avec une femme prête à en venir au main s'il le fallait. Et ce n'était très certainement pas une moldu de son genre qui allait lui faire peur.
S'étant engagé à vingt-deux ans dans la résistance alors que la guerre avait à peine débuté, certes moins puissante que ses deux frères ou les frère Mcgonagall la jeune femme n'avait pas tardé à se tailler une petite réputation au sein de l'ordre. Mais les enfants venant un par un elle fut très vite contrainte à arrêter. Ses talant de dualiste s'étant probablement émoussé elle n'en restait pas pour le moin terriblement dabgereuse. Tous le savait en particulier Maugrey qui était la seule sorcière à qui il témoignait un respect égal au sorcier les plus puissant. Aujourd'hui sa magie s'était émoussé, incapable de faire fuir un simple épouvantar elle se trouvait bien pathétique.

Lorsqu'elle avait vu l'état dans lequel se trouvait le fils de Lily Evans, la haine s'était emparé d'elle. Oh biensur elle n'avait rien dit. Se contentant de crier sur ses fils et de redoubler en amabilité et en bienveillance en vers le jeune Harry. Son mari pas dupe avait attendu que les enfants montent à l'étage et que la dispute qu'elle avait entamé dans l'espoir de calmer ses nerfs ce soit dissipée pour tenter de la calmer. Mais en vain immédiatement sans prévenir qui que ce fut elle avait écrit une lettre à l'intention d'Albus. La réponse était revenue le soir même l'enjoignant à resté le plus calme possible. Arthur avait du user de toute sa force et ces connaissances emmagasiner grâce à ces années de mariages pour canaliser sa turbulente de femme qui avait fini par entendre raison.

Comment avait-elle put faire cela sa propre sœur !!
Elle ne l'avait connu que très brièvement, elle avait vingt-neuf ans lorsque Lily entra dans la résistance et immédiatement le courant passa entre les deux sorcière. En elle, elle se revoyait dans sa fole jeunesse, toute aussi fougueuse, imprévisible et pour ses ennemis, dangereuse. Elle ne la cotoya pas suffisamment à son goût, car elle était prise par ses devoir de mère et Lily partait constamment en mission, mais ces quelques entrevue suffire pour qu'elle soit invité à son mariage, elle eut même le privilège de tenir son fils deux jours après sa naissance. Il était si beau et si heureux. Tant de choses s'était passé depuis, tant et tant de choses....
Trop même... Beaucoup trop.

Lorsqu'elle le carillon sona, et que Lady Black ce mit à hurler, Molly jetta un dernier regard aux invités puis se devoua à ouvrir la porte. D'après les description la sœur de Lily Evans était....

Magnifique.... Magnifique...
Fut le seul mot qui lui traversa l'esprit lorsqu'elle ouvrit la porte. Et pendant une fraction de seconde, elle eut l'illusion certes déraisonnable de revoir Lily Potter la devant elle un sourire timide accroché sur son visage.
Molly en demeura muette de stupéfaction.

*

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant