Reveillons [ 3]

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Pétunia avait finit par être accepté plus ou moins, ainsi que son mari qui avait finit par subir tout comme Mr Granger les assaut incessant de Mr Wesley les puissant naturellement l'un vers l'autre. Lorsque vint le moment de manger ils s'assirent côte à côte le plus loin possible de tout ce qui de près ou de loin avait des cheveux oranges.

Ce qui lui arracha un sourire. La personne qui lui manifesta le plus d'amitié était la mère d'Hermione.  Marie qu'elle s'appelait si elle avait bien compris et son mari  se nommait George comme son grand-père une coïncidence qu'elle n'appréciait pas trop.

Molly avait finit par l'approcher avec méfiance, du elle savait  à tout ce qu'elle avait  commis ou ce qu'elle se figurait qu'elle ait commis, avec un peu plus de bonhomie au cours de la soirée.
Mrs Dursley n'aurait jamais deviné à quel point elle était fasciné par ce monde quel avait toujours crains.  Il était bien plus complexes qu'elles n'aurait sût imaginer, oh biensur sa perception faillit être altéré et ses vieilles peur faillir la submerger quand vint l'entrée et qu'une explosion de cries se fit entendre et que Molly s'était précipité hors de la cuisine baguette en main suivit de Tonks , Lupin et Mr Wesley.  Pétunia avait découvert avec effroi les telant  vocaux de  Lady Black.  Vernon était devenu rouge violacé comme s'il allait exploser de rage d'un moment à un autre, Mrs Dursley s'était pincé les lèvres songeant que sa bonne volonté n'avait duré que quelques secondes, quand les bruits s'étaient tue.

On lui avait  expliqué plus tard que tout ce tapage avait été du à la venu d'un invité pas trop désirable un certain Mondingus Flecher qui a l'entrée croire avait été mit à la porte par un bon coup de pied bien placé de la par de Mrs Wesley. Qui était ce Mondingus , lorsqu'elle voulu en savoir plus on ne lui répondit que par des vagues grognements ou des soupirs de lassitudes  tout  ce qu'elle avait eut le droit de savoir était qu'il luttait contre Voldemort quand il n'était pas occupé à voler l'argent des autres.

Le reste du repas se passa sans accrochage. Vernon s'entendait plutôt bien avec George Geanger, bien que, elle le savait, tous jouaient la comédie, tous sauf cette vieille femme qui de tout le repas n'adressa que de vague coup d'oeil argneux en vers Vernon et elle.  Cette femme l'intriguait car tous lui parlait avec un certain respect. Même Molly Wesley qui aussi calme et discrète qu'un début d'orage, parlait calme, ne rediscutait ni ne contestait les avis de la vieille femme qui parfois pouvait être assez tranchez.  Chose qu'elle ne faisait jamais, avait-elle constater, même avec son mari. Elle avait toujours quelques choses à redire.  Puis il dégageait tant de noblesse de cette vieille femme, avec sa longue robe rouge ses bottines de cuire noir son sac à main rouges qu'elle portait toujours à bout de bras, son écharpe de fourrures.

Ses yeux étaient d'un gris argenté et reflétaient une profondeur d'esprit qui aurait put dn noyer plus d'un. La seule personne qui lui ressemblait vaguement, était ce jeune garçon un certain Neville.  Certes il avait les yeux noirs les cheveux bruns et étaient quelques peux joufflu, quoique... Ces larges épaules laissaient deviner qu'il était aussi voir plus musclé que son fils.  Mais il avait quelque chose dans l'attitude, sa façon de pincer des lèvres lorsqu'il n'était pas d'accord, la forme de son nez notamment, qui lui rappelait la vieille femme.

Lorsque le repas toucha à sa fin alors que l'atmosphère s''était détendu et que les convives discutaient de tout et de rien Harry à la surprise générale, s'était redressé et le silence était tombé.

- J'aimerais....
Commença-t-il, j'aimerais tous vous remercier d'être venu.... Il se corrigea et son regard se tourna machinalement vers Gynnie Wesley qui a la grande surprise de Pétunia était en grande conversation avec son .... Son fils.
Certes sa bouche ne s'était pas déridé au point où il pouvait sourir. Mais il paraissait beaucoup moins froid et plus enclin à la discussion.  Un verre de vin à la main jambes  croisés et sourcils froncé il l'écoutait  l'air soucieux. Quand tout deux réalisèrent que les regards étaient tourné vers eux, ils stopperent leur conversation, Harry attendit quelque seconde avant de reprendre.
J'aimerais tous vous remercier d'avoir accepté d'être venu.

Quelqu'un ricana puis une voix s'élèva .

-  Nous te sommes gré de ta sollicitude, ma joue droite un peu mo....

- FRED !
Hurla Mrs Wesley, ce qui arracha plusieurs sourire.  Pétunia ne compris pas ce qui s'était passé. On lui expliquera plus tard que sans l'insistance de leur mère les jumeaux ne seraient jamais venu.
Quand le silence revint Harry repris d'une voix altéré comme s'il tentait de refluer des sentiments enfouis.

- Avec le retours de ... Il Hésita observa brièvement Gynnie qui hocha imperceptiblement de la tête, puis il observa Hermione qui faisait de même, seul Ron qui  aussi discret qu'un troupeau de vache reuni fit non de la tête , il inspira et repris.
Avec le retour de Voldemort...
Ah l'évoquation de ce mot toute joie quitta la pièce, chaque regard se fit plus dure ou se remplirent de peur pour certain.  Un frisson parcourut le dos de Pétunia et sa respiration se figea  l'espace de quelques instants.  Puis elle croisa le regard de Vernon qui était tout aussi terrifié que lui bien qu'il ne le montrait pas, ou du moin se figurait de ne rien en montrer.
Ressaisit toi putain....

Se morigena-t-elle intérieurement.  Quand elle retrouva ses esprits elle constata que l'atmosphère de plomb qui s'était étendue sur la pièce, tel les filets d'un pêcheur en quête de détruire les fonds marins, s'était dissipée, tous avaient tacitement excepté le fait d'entre le nom de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom

Harry attendit quelque seconde supplémentaire avant de reprendre.

- Avec le retour de Voldemort, .cette fois aucun ne perdit son sang-froid,
avec le retour de Voldemort, j'ai... J'ai pris conscience de l'importance que vous avez tous dans ma vie.  Et je voulais vous dire, que j'ai été fier et que je serai à jamais fière d'avoir connu chacun d'entre vous.

Puis Harry se rassis. Et le silence revint , plus lourd et pesant que le premier.  Même si elle ne se l'avouerais jamais,  les paroles de son neveux l'avait profondément touché.  Alors ne sachant comment elle avait trouvé l'inspiration ni d'où elle avait trouvé le courage et l'audace de le faire, elle se leva et tout les regards se tournèrent vers elle et pour la première fois de la soirée tous la regardait avec curiosité et non avec mepris, même cette vieille femme.

Lentement elle tendit sa flutte de bièrreaubeure qui était l'alcool accompagnant le plat de fin et murmura.

- Je ne serais remonter le temps ni changer ce qui a été fait.  Quoi que vous pensiez de moi j'aime Harry Potter et je suis fière qu'il soit le fils de ma sœur.
Elle tendit sa flutte vers son neveu qui l'observa avec des grands yeux.
Tu as vaincu le sortilège le plus meurtrier au monde , tu as  si j'ose dire déjoué la mort.
Tu as changé le regard que je porte sur se monde, tu as changer tant de vie alors je porte se verre en ton honneur.

Le silence revint puis alors lors que gêné Pétunia allait reposé son verre, Vernon se leva à son tour.

- Ah Harry...
Murmura-t-il, en tendant sa flûte.  Puis Dudley se leva sa flûte à son tour.

- Je lève à ma coupe en l'honneur de celui qui ce joue de la mort en étant fière de partagé son sang.
Hermione se leva et en un sourire reprit la phrase du fils de Mrs Dursley.

- Ah celui qui ce joue de mort.
Et tous se levèrent et scanderent d'une même voix.
Ah celui qui ce joue de la mort.
Pétunia croisa le regard de son neveu qui toujours hébété observait la petite assemblée qui s'était levé en son honneur et elle aurait juré oui elle aurait juré qu'il avait pleuré.

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant