Ensemble on est plus fort

Retrouvailles :

Alice était en manque du corps de son homme. Cette semaine avait été longue et compliquée et Fred lui avait terriblement manqué.

Elle commença par l’embrasser, tendrement, prenant le temps de lui transmettre tout l’amour qu’elle possède pour lui. Avec ses mains, elle redécouvrit chaque passerelle de son visage, dessinant le contour de ses yeux, de son nez, de sa bouche. Elle prenait son temps et en profitait au maximum. 

Fred regardait sa femme, un petit sourire au coin des lèvres. Il était fier. Fier d’avoir réussi à la conquérir avec un départ si catastrophique entre eux. Fier de tout ce qu’il avait traversé ensemble pour en arriver là aujourd’hui mais aussi et surtout fier d’elle. Il ne l’a jamais vraiment vu craquer et pourtant il sait qu’elle a vécu des choses dures dans sa vie. C’est pourquoi aujourd’hui, en la regardant aussi heureuse et épanouie, là, devant lui, il a envie de la prendre dans ses bras, de la protéger. De l’aimer… tout simplement. 

Il passa ses bras sur ses hanches, l’approcha de lui et la serra contre lui. 

Ses lèvres s’approchèrent de son oreille où il lui murmura quelques mots. 

- Je t’aime Alice… je t’aime. Ne l’oublie jamais.

Puis il se mit à lui mordiller le lobe. 

Alice profitait du moment, dans les bras de son homme, elle se sentait en sécurité, loin de tout. 

Elle commença à l’embrasser dans le cou, laissant glisser sa langue jusqu’à son épaule et remontant en déposant de légers baisers tout le long de son chemin. Elle reproduisit ses gestes puis petit à petit, elle descendit jusqu’au col du tee-shirt de Fred qui la gênait. Elle décida alors de le lui retirer et c’est dans un mouvement des plus sensuel que Fred l’aida. 

Elle reprit alors ses caresses, dessinant chaque pectoraux, chaque muscle apparaissant sur ses bras ou son ventre. 

Fred n’était plus maître de rien. Il était pris dans le doux piège que sa femme lui avait tendu et il n’était pas décidé à en ressortir. Il se laissa porter par les caresses d’Alice et ses mots tendres qu’elle lui prononçait sensuellement à l’oreille. 

Alice incita ensuite son homme à prendre soin d’elle. Elle prit ses mains et les posa elle-même où elle avait envie de les sentir. 

La pièce était à présent remplie d’amour. 

Fred décida de se lever, gardant Alice dans ses bras, et de se diriger vers la chambre. 

- On sera mieux là-bas je pense.

Arrivés, Alice descendit d’elle-même et tira le bras de Fred pour l’emmener vers le lit. 

Fred n’en pouvait plus et il pu voir dans les yeux de sa compagne qu’elle en voulait bien plus alors il la fit basculer sur le lit, lui retira tendrement ses sous-vêtements et retira également le reste de ses vêtements à lui et se plaça à son tour à califourchon sur sa belle. 

Il lui fit prendre un plaisir intense avec ses mains jusqu’au bord de la rupture pour Alice avant de s’insérer en elle avec toute la douceur qu’il pouvait lui transmettre. 

Alice, en un instant, passa de la femme en manque à celle qui ne voulait plus que le moment s’arrête puis après de longues minutes à se retenir de crier, elle entendit les gémissements de son homme et se libéra elle aussi. 

Fred se laissa tomber à côté d’elle et la serra contre lui. 

- Ça va ma belle ?

- C’était encore une fois merveilleux Fred. TU es merveilleux.