Ensemble on est plus fort

Le Passé Reste Au Passé

Le sommeil d’Alice fut rempli de cauchemars. Elle sursautait à certains moments mais Fred la rassurait. Elle ne se réveillait pas mais sa respiration s’accélérait, elle parla même quelques fois.

Après 1h 30, elle se réveilla en sursaut et Fred arriva à la calmer. Au bout d’un moment, le ventre d’Alice se manifesta.

- Tu veux qu’on aille manger mon ange ?

Elle accepta d’un signe de tête.

Il insista pour la porter et Alice nicha son visage dans le cou de son homme.

En arrivant à la villa, elle ne voulait pas le lâcher. Fred prépara la table avec Alice dans ses bras. Il sentait qu’elle avait besoin d’amour, de se sentir aimée alors il n’eut pas le cœur à lui refuser. Ça le faisait même rire et ça redonnait le sourire à Alice.

- On dirait Paul le matin quand il veut pas se lever.

- Bah, telle mère, tel fils, mon cœur. Alors en plus d’avoir notre fils, tu vas maintenant devoir avoir la  maman dans tes bras. Et saches que tu n’es pas prêts de te débarrasser de moi.

- Ha mais c’est tout ce que je demande moi.

Il l’embrassa calmement.

Après avoir mis la table, ils commencèrent à manger. Alice était assise sur les genoux de Fred et se retourna souvent pour lui poser un baiser sur la joue ou sur la bouche pour le plus grand plaisir de Fred.

Après le repas, Alice se raccrocha au cou de Fred qui décida de débarrasser plus tard pour pouvoir s’occuper de sa femme.

Ils montèrent à l’étage et Fred déposa délicatement sa femme sur le lit pour s’allonger à côté d’elle.

Alice, elle, avait besoin d’un moment rien qu’à eux pour être rassurée, se sentir bien alors elle entreprit de se placer au-dessus de Fred et de commencer à l’embrasser.

Fred quant à lui se laissa faire. Il savait qu’elle en avait besoin et il se promit d’y aller doucement et d’écouter ses désirs pour ne pas la brusquer.

Alors Alice commença à le faire monter en pression. Elle embrassa son torse et descendit doucement vers son bas ventre. Elle continuait à le regarder dans les yeux tout en lui retirant son short. Elle poursuivit ses baisers et quelques minutes plus tard, son caleçon était au sol. Elle calcula tous ses gestes pour lui procurer le maximum de plaisir puis Fred prit le relais. Doucement, il la fit passer en-dessous de lui et commença à lui retirer son haut de maillot de bain. Il l’embrassa s’attardant un moment sur sa poitrine puis descendit un petit peu. Il retira également son short. Il ne restait qu’un petit bout de tissu qui les séparait. Fred voulut faire craquer sa femme alors il prenait son temps et s’amusait de voir son corps réagir sous ses mains, ses caresses et ses baisers. Pour mettre fin au supplice, il retira le bikini de sa femme et remonta ses lèvres pour l’embrasser pendant qu’une de ses main lui faisait prendre du plaisir. Le souffle d’Alice s’accéléra, son corps se mit à réagir puis d’un seul coup, elle se mit à trembler. Pour la calmer, Fred la prit dans ses bras. Après ce passage, il s’amusa à encore et encore la faire patienter. Alice n’en pouvait plus et à l’oreille de son mari, elle glissa :

- Fais moi l’amour Fred.

Pour accéder à sa demande, il entra tout aussi délicatement en elle. Il lui procura le maximum de plaisir. Leurs lèvres restèrent collées et les mouvements restèrent fluides. Fred ne voulait pas la brusquer, il voulait un moment tendre dans lequel Alice put ressentir tout l’amour que son mari lui porte mais elle, voulait accélérer. Elle passa donc au-dessus et prit les commandes. Rapidement, les souffles s’accélérèrent et dans un cri commun, ils atteignirent tous les deux l’extase.