Message à un inconnu # Beau gosse

38-Fête d' anniversaire

Nous sommes rentrer chez Benjamin, heureux de nous retrouver après dix jours séparer.

Durant tout le trajet qui nous ramenais chez lui, il conduisait, une de ses mains sur ma cuisse, dessinant des petits rond invisible sur celle-ci. Je souriais, ma main sur la sienne.
Je ne pouvais pas m' empêcher de le regarder, de sourire, et lui aussi, me regardant à chaque feu rouge, m' embrassant aussi rapidement entre deux arrêts. Bon sang qu' il m' avait manquer, comment cela peut être possible ?, comment un homme peut autant vous rendre dépendante à lui ?, l' amour peut-être ?, oui, je pense que c' est çà.

Une fois à la maison, nous avons sortis ses valises du coffre et les avons déposer dans l' entrée de la maison.
On a enlever nos vestes, déposer nos sacs et nos chaussures.
Je regardais Benjamin poser ses clefs de voiture sur le petit meuble, je souriais, me mordant la lèvre, j' avais plein d' autres choses en tête à ce moment là et je fus contente de voir que je n' étais pas la seule à y penser.

Benjamin se retourna ensuite vers moi, me prenant dans ses bras et m' embrassant avec tendresse.

- Tu m' as tellement manquée, me dit-il entre deux baisers.

- Moi aussi tu m' as manquer mon cœur, lui dis-je alors qu' il me regardait avec tendresse.

Il posa ses mains sur mes joues, me les carressants avec ses pouces. Il me regardait avec un regard doux, amoureux plus que jamais, ça se voyait dans ses yeux.

- Je t' aime, me dit-il avec le plus grand sérieux.

Je fondais littéralement. Ces mots là dans sa bouche, résonnait comme un doux chant mélodieux, une promesse à long therme d' une vie à deux.

Cette fois c' est moi qui l' embrassait, passant mes mains sous son tee-shirt. Je carressais ses abdos, passant mes mains de chaque coté de ses côtes, le faisant sourire quand je passais trop bas, lui provoquant quelques frissons par les chatouilles ou autre chose à ce moment là. Très vite, je l' ai aider à enlever son maillot pour qu' il finisse par atterir au sol, et toujours en s' embrassant, on sait déshabillé mutuellement tout en avançant dans le couloir, terminant notre chemin à sa chambre.
On avait besoin de nous retrouver après cette longue séparation et c' est ce que l' on a fait, deux fois ce soir là avant d' aller prendre une douche.

...

Trois semaines plus tard

Nous sommes bientôt mi Novembre et ce soir, Benjamin a un match qui se joue à San Siro. C' était toujours un plaisir de le voir jouer dans ce si beau stade, l' ambiance est excellente, on y passe toujours un agréable moment.

- On rentre ensemble ce soir après le match ?, me demanda Benjamin alors que je finissais de ranger la vaisselle.

J' acquiesçais d' un mouvement de tête.
Il n' est pas loin de 14 heures. Il a eu entraînement ce matin, il est rentrer à la maison, chez lui à 13 heures après avoir pris une douche au camp.
J' avais passer la nuit chez lui la veille et ce matin, j' étais rester ici pour faire un peu de ménage, des lessives et préparer le repas.
Nous avions déjeuner tout les deux et fais la vaisselle.
Je finissais juste de ranger un verre dans le placard en hauteur, me tendant de toute ma longueur.
Benjamin chatouilla mon ventre dénudé par mon maillot qui remontait.
Je redescendais d' un étage, de la pointe de mes pieds et lui tapait doucement le torse en souriant.

- T' as finis de m' embêter oui !, dis-je alors qu' il me prenait dans ses bras.

- J' adore t' embêter, disait-il en haussant les épaules, je n' y peut rien, c' est comme ça, c' est devenu mon passe temps préféré !, riait-il.