46-Surprise !

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Point de vue de Benjamin

Je suis assis dans le canapé, il est 11 heures 45 et j' échange encore quelques messages avec Alexie. Elle est sur le chemin avec ses parents pour son repas où elle hâte que ça se finisse pour me voir ce soir. Je souris bêtement, encore quand il s' agit d' elle. J' ai hâte de la revoir aussi.
Les invités de mes parents ne devraient pas tarder non plus, ils leur avaient dit pour, à partir de midi.
J' ai aider ma mère à installer la table à la salle à manger, pour six, car apparemment, ils seront présent avec leur fille qui a mon âge à ce que m' à dit ma mère. Je l' avais dit à Alexie, et on a rigoler en disant que ce serait trop drôle qu' on se retrouverait pour le déjeuner ensemble, mais non, ce n' était pas le cas.

On sonna à la porte, ce qui me fit sortir de mes pensées et ma mère allait ouvrir. Je rangeais alors mon portable, par politesse, je ne vais pas rester scotché dessus alors qu' ils sont arriver.

- Nicole !, comment tu vas ?!, disait ma mère avec enthousiasme.

On sentait qu' elle était vraiment contente de voir son amie.

- Ça vas, et toi Nathalie ?!, disait la dame avec le même enthousiasme.

Je les entendais se faire la bise et discuter encore ensemble en entrant.

- Ça vas aussi, les fêtes se sont bien passer ?, vous avez pu profiter de votre fille ?

- Oh oui !, disait la dame, Nicole, en riant doucement, ça passent toujours très vite ces moments là, disait-elle avec douceur, et notre fille oui, un pur bonheur de l' avoir eu avec nous pour les fêtes, vous aussi d' ailleurs.

- Tu m' étonne !, oui pareil !, on profite à fond à chaque instant quand on le peut, disait ma mère.

Je savais à ce moment là qu' elle parlait des peu de fois où on pouvait se voir. Je suis très proche de mes parents, ma mère c' est tout pour moi, mais avec mon rythme de vie, c' est vrai que c' est compliqué de les voirs aussi souvent que je le voudrais.
Je suis en Italie et eux en France, et avec le rythme, c' est difficile, mais effectivement, on profite dès que l' on a l' occasion de se voir.

- Elle est où d' ailleurs ta fille ?, souriait ma mère.

- Avec son père, riait Nicole, ses deux andouilles n' arrêtent pas une seconde quand ils sont tout les deux.

Je riais au salon en entendant cela. Si elle est aussi amusante qu' elle en a l' air, ça vas, je passerais un moment sympas en attendant de retrouver mon petit cœur.

- Chéri !, arrête de faire l' andouille avec ta fille, disait-elle à l' intention des deux personnes dehors, et Alexie !, n' oublie pas de prendre la tarte sur la plagette arrière !, disait-elle de nouveau avant de fermer la porte de l' entrée.

- Oui chérie !, disait une voix masculine, sans doute le père.

- Oui maman !, riait une jeune femme.

Ma mère riait.

Moi, je m' étais lever à toute vitesse devant mon père qui se retenait de rire, pour aller regarder à la baie du salon.
Nicole et Raphaël ?, Alexie ?, leur fille ?, ce rire ?, non !, c' est pas possible ?

Message à un inconnu # Beau gosseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant