49-Je m' imagine...

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Samedi, le jour où devrais-je dire le soir de notre départ pour les vacances d' été.

II est actuellement 23 heures et Benjamin me reveille doucement.
Je n' ai pas arrêter de courir sur la journée, fait les valises, défait et refait parce que je n' avais pas assez prévu de tenues légères, oublier deux ou trois trucs, on part au soleil quand même.
Marco était passer aussi chez Benjamin, récupérer mes clefs et les siennes, il avait bu un café, on avait discuter. On partait quinzes jours et il s' était proposer de venir relever le courrier, aérer un peu et arroser nos plantes, il est trop gentil mon meilleur ami.
Il ne part qu' en Août avec Paolo alors il nous disait que ça l' occuperait un peu. En effet, lui il est en vacance, mais Paolo ne finit pas avant fin juillet le travail, alors les journées sont un peu longues, il s' ennuit.

Tout était opérationnel en fin de journée.

- Mon petit cœur, me disait Benjamin d' une voix douce.

J' ouvrais doucement les yeux, j' étais encore dans ses bras, allongée dans le canapé et visiblement, le film que l' on avait lancer après le dîner était terminer puisqu' il y avait le générique qui défilait.

- Je me suis endormie ?, dis-je d' une petite voix.

- Oh oui, disait-il en souriant, et tu as bien dormie, tu as bavé un peu sur mon bras, riait-il.

Je le tapais doucement sur son bras en riant.
Il me resserait dans une étreinte très douce.

- C' est que je rêvais de toi !

- Oh !, disait-il de façon intéressé. Et qu' est-ce qui se passait dans ce beau rêve ?, oui parce que j' y étais, donc c' était forcément beau !

Je me redressais doucement, de façon à être légèrement sur lui et le regarder. Je souriais.
Il me caressait la joue.

- Je t' aime, me dit-il après un court silence.

Je le regardais dans les yeux, moi aussi je l' aimais, je l' aimais très fort. On avait une chance incroyable, je m' en rendais compte chaque jour.

- Moi aussi je t' aime, lui répondis-je en souriant.

On s' embrassait.

- Mais je ne te raconterais pas mon rêve, lui dis-je en riant lorsque je voyais qu' il faisait une petite moue déçu. Non, les rêves sont fais pour être exaucés alors je ne dirais rien.

- Ben justement, si tu veux que ceux-là se réalisent, il faut que tu me le dise, disait-il en riant.

- Non, non non ça ne se passe comme ça monsieur Pavard, bien tenté !, dis-je en riant et en me levant.

Il riait aussi, me regardant aller jusqu' à la télé pour l' éteindre, débranché la prise central en même temps vu que l' on partait quinzes jours, on ne vas rien laisser en veille.

Je le regardais de nouveau, il était assis sur le canapé, souriant en me regardant.

- T' est merveilleuse, me disait-il comme ça, avec douceur.

Je souriais, allant le rejoindre.
Il se levait pour me prendre dans ses bras et on se faisait un câlin.

- On vas passer de belles vacances tout les deux, me dit-il avec tendresse.

- Oh oui, ce sera des vacances merveilleuses, lui dis-je en l' embrassant de nouveau.

Sur ceux, après notre petit moment câlin, nous avons fait le tour de la maison pour voir que l' on avait rien oublier. Benjamin a charger le coffre de la voiture, j' ai laisser un mot à Marco avec les boîtes de nourriture pour Nemo.
Oui, je ne vous ai pas dit, mais Marco vas surveiller aussi Nemo. Benjamin a pris un poisson rouge, il est trop mignon, comme un poisson rouge quoi !
Il voulait un animal de compagnie, je pensais qu' il allait prendre un chien. Et quand je l' ai vu revenir avec un poisson rouge, j' ai un peu rigoler mais il avait de bonnes explications. Il m' a dit qu' il démarrait petit et si il ne le faisait pas mourir en n' oubliant pas de le nourrir ou de changer l' eau de son aquarium, il penserait peut-être à un chien ensuite.

Message à un inconnu # Beau gosseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant