Mi Août
S' ayez, on arrivait le fameux week-end où nos parents à Benjamin et moi venaient en Italie.
Maman et Nathalie n' en pouvait plus d' attendre de nous revoirs. Depuis quelques jours déjà, elles devaient être ingénieuses à la maison, car autant l' une que l' autre mourrait d' envie de le dire à leurs maris, nos papas, pour la nouvelle de leur futur petit enfant.Elles s' étaient contenues depuis le mariage pour ne pas craquer non plus dans les magasins, trouvant énormément de choses pour bébé dans les rayons quand elles allaient faire leur courses et de faire comme si de rien n' était devant nos pères.
Autant vous dire que pour des futures mamies gâteuses, c' était dur pour elles de ne pas dévoiler leurs émotions à tout le monde.
Elles étaient heureuses et ne devait rien laisser paraître.
Mais la veille du départ en Italie, hier en soit, elles se sont lâchés nos mères !, pour leur plus grand plaisir.En effet, celle-ci ont programmer une petite virée shopping quand elles se sont vues mercredi à la cafétéria de l' hôpital.
Mon père était en salle d' opération à ce moment là, Frédéric était occuper dans son service, et nos mères s' étaient retrouver pour une pause café. Elles étaient un peu plus libre de parler de notre bébé à ce moment là, même si elles faisaient attention. Nos parents sont bien connus à l' hôpital, il ne faudrait pas que la nouvelle d' un bébé Pavard en route ne fuite.
De là, alors que le vendredi nos parents déjeunaient ensemble à midi, elles ont programmées une sortie pour l' après-midi, pendant que nos pères joueraient à la pétanque dans le terrain derrière la maison.Et là, ce fut le drame !, elles ont dévaliser les magasins.
Doudous, pyjamas, bodys, mixte bien évidement mais tout y ai passer dans leur cadie.
Elles ont rigoler en rentrant par contre, comment elles allaient faire pour passer inaperçues pour le voyage ?, et à la maison avec nos pères ?
Du coup, arriver chez mes parents où ils passaient leur journée, ma mère est rentrer à la maison, elle est monter rapidement à l' étage pour récupérer une valise et retourner à la voiture pour rejoindre Nathalie et mettre leurs achats dedans.On avait bien rigoler avec Benjamin en fin d' après-midi quand elles nous ont appelées en visio. Nos pères étaient partis chercher le dîner à emporter pour le soir, vu qu' ils partaient le lendemain matin, personne ne voulait cuisiner et ils voulaient rester ensemble pour ce soir.
Décidément, ces quatres là sont vraiment inséparables.
Du coup, elles avaient réussi à tout mettre dans une valise et quand elles sont rentrer à la maison, mon père est rentrer au même moment pour prendre deux bières, pour lui et Frédéric.
Il lui a demander, à ma mère, ce qu' elle faisait avec une valise et les deux amies ont trouver l' excuse parfaite !
En effet, Nathalie a commencer à dire qu' elles avaient faient des achats pour nous, des choses que l' on avait besoin et ma mère avait renchérit dessus.
En effet, en Italie, même si on n' est pas à l' autre bout du monde, il y a certain produit qu' on ne trouve pas ici, et souvent, autant les parents de Benjamin que les miens, nous apportaient certaines choses de France, donc cela est passer comme une lettre à la poste aux yeux de nos pères qui n' ont rien vus.Avec Benjamin, le jour de leur arrivé, nous étions à la maison, je venais de finir de changer les draps des deux lits des chambres d' amis, enfin moi, je veux plutôt dire mon mari.
Il avait voulu tout faire lui même, ne voulant pas que je me fatigue de trop, il est adorable. Il m' avait quand même laisser mettre les taies d' oreiller et je souriais en le voyant faire.- C' est parfait mon cœur, tu est parfait !
- Oh merci petit cœur, me disait-il en venant me prendre dans ses bras. Toi aussi tu pense que papa est parfait ?, disait-il en souriant et posant l' une de ses mains sur mon ventre.
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Message à un inconnu # Beau gosse
RomanceEt si une journée de merde finissait par devenir la meilleure journée de votre vie. Alexie, 27 ans, une jeune française, créatrice de mode installer à Milan, la capitale de la mode à l' italienne en a fait les frais. En effet, par une belle journée...