47-C' était un plaisir...

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- C' était un plaisir Nathalie, et le repas était parfait, dis-je en embrassant la mère de Benjamin.

- Ça m' à fait plaisir aussi Alexie, dommage que l' on ne puisse pas profiter plus, mais vous reviendrez nous voirs ?, tout les deux ?, disait-elle en me regardant et regardant son fils en même temps.

- Bien sûr maman, disait Benjamin en la prenant dans ses bras à son tour. On reviendra vous voirs en mars ou avril ?, disait-il en me regardant.

- Oui, c' est à peu près le momenttu aura un rassemblement ?, on pourrait caler quelques jours en France, juste avant de rentrer ensuite chez nous, dis-je en souriant à mes parents.

- Ce serait une merveilleuse idée !, me répondait ma mère. Tu pourrais venir à la maison Alexie ?, pendant que Benjamin sera au camp.

Je souriais, Benjamin me donnait la main et la carressait avec douceur.

- Oui et on pourrait se voir en même temps et après, quand Benjamin aurait finis au camp, tu pourrais venir avec lui à la maison ?, me disait Nathalie en souriant.

- On est foutu, me disait Benjamin en m' embrassant sur le front et en étant pas du tout discret.

Il souriait et tout le monde riait.

- Je crois que nos femmes ne vont pas lâcher nos enfants, riait Frédéric près de mon père.

- Je crois qu' ils sont en effet foutu comme l' à dit ton fils, riait mon père.

Le téléphone de Benjamin sonnait.

- C' est le rappel pour partir, me disait-il en regardant son téléphone et éteignant l' alarme. On doit y aller, disait-il en souriant en regardant sa mère.

Celle-ci le prenait dans ses bras. On était déjà en train de leur dire au revoir, mais c' était plus difficile qu' on ne le croyait.
On avait passer une belle après-midi tous ensemble, on a rigoler avec sa mère et la mienne, et les hommes parlaient entre eux.
Nous étions très content que finalement nos parents aient organisés ce repas.
Nous voulions attendre un peu pour nous rencontrer, mais comme on en avait déjà parler tout les deux, on était sûr de nous, de notre histoire, alors finalement, c' était bien qu' ils nous aient devancés.

Sur ceux, Benjamin allait récupérer ses valises à sa chambre.
On parlait encore avec sa mère, elle était vraiment très gentille, je vois d' où Benjamin tient ce trait de caractère. Son père est très drôle, Benjamin a hérité de lui ce tempérament de blageur. Et les deux sont bienveillants, généreux, tout comme lui l' est.

Message à un inconnu # Beau gosseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant