42-A dans six jours !

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Les quatres jours chez Lucas et Victoria se sont bien passer.

On a énormément rigoler avec Lucas, tout les deux ligués contre Benjamin à l' embêter.
Il disait en rigolant à Lucas qu' il avait changer de meilleur ami, et en rigolant, celui-ci lui avait dit que non, il était le seul et unique mais qu' il n' avait pas de meilleure amie fille et qu' avec moi, il verrait bien cette situation le devenir.

Benjamin en était plus que ravie, cela ne le dérangeait pas, bien au contraire.

Nous sommes maintenant mercredi et nous sommes en route pour le Nord, dans la voiture de location que Benjamin a loué.

- Alors ?, tu vas arriver à te passer de moi pendant quelques jours ?, me demandait-il en embrassant ma main qu' il tenait en conduisant.

- Quelques jours sans toi ?, facile !, dis-je en riant en le regardant.

Benjamin me faisait une moue faussement choqué et vexé avant de rigoler.

- Non en vrai, lui dis-je avec douceur en me tournant vers lui, ça vas être super dur.

- Pour moi aussi, me dit-il avec la même douceur. Je t' aime Alexie.

- Je t' aime aussi, lui dis-je en l' embrassant sur la joue alors qu' il conduisait très concentré.

Il m' embrassait de nouveau la main en me faisant un sourire et nous avons continuer à discuter le long du trajet.

Il était à peine 11 heures et on franchissait le panneau de l' entrée de mon village.
Je faisais une petite moue, comme une enfant qui n' est pas contente d' arriver à destination.
En vrai, j' étais heureuse de retrouver mes parents, mais c' est le fait de me séparer de Benjamin qui me plaisait moins.

- A la prochaine intersection tu tourne à droite.

- OK, me dit-il en souriant.

- Et au rond point, tu prend la deuxième à gauche.

- A gauche ?

- Oui à gauche.

- Ta gauche ?

- Ben la gauche de tout le monde mon cœur !, riais-je.

- Je voulais être sûr !, riait-il. Je confonds des fois.

- Ah !, je comprend pourquoi des fois t' arrive pas à viser sur le terrain, riais-je.

Il me regardait faussement choqué encore une fois.

- Toi, Lucas déteint trop sur toi !, riait-il.

Je riais encore plus.

On arrivait bientôt à destination.

- Au prochain virage, c' est la rue à droite et tu continue jusqu' au bout.

- OK, disait-il en jetant un œil dans le rétroviseur avant de tourner sur le chemin.

- C' est la grande maison que tu vois au fond.

- Waouh !, ça ne plaisante pas !, riait-il en voyant la grande villa au fond du quartier qui se dressait derrière un mur arboré d' arbre bien taillé.

Message à un inconnu # Beau gosseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant