Comment une princesse à pu se retrouver du jour au lendemain à vivre dans la forêt pour tenter de survivre ?
Kenna n'a pas eu le choix, elle est partie pour sa sécurité.
Elle a préféré laisser son statut au château pour laisser place à la pauvreté.
...
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Il me regarde sérieusement et enlève une de mes mèches de mon visage.
«Es-tu vraiment certaine ? ».
Je le saisis par le col de sa chemise et je pose mes lèvres sur les siennes.
«Oui, on a bien assez attendus ».
Il me sourit et vient m'embrasser alors que je viens défaire le petit lacets de sa chemise.
Il finit par la faire passer au-dessus de sa tête et je pose timidement mes mes mains sur son torse nu.
«N'aies pas peur » souffle-t-il après un énième baiser.
«Je n'ai pas peur, j'ai confiance »
Je le regarde droit dans les yeux et il pose sa main sur la mienne.
«Je t'aime Kenna ».
J'ai le cœur qui vacille et je ne suis même plus sûr que ça soit à cause de notre rapprochement, mais bien de ses mots.
Ses lèvres viennent se poser sur mes lèvres dans un baiser plus possesif alors que je sens sa main remonter ma chemise de nuit.
Ses doigts glissent le long de ma cuisse nue et je soupire d'aise.
Je lâche un gémissement quand elle se pose juste au-dessus de mon pubis et qu'elle remonte sur mon sein droit.
Arthur continue ses baisers dans mon cou pendant que sa main malaxe mon sein et je viens couvrir ma bouche de ma main droite.
«N'aie crainte, personne peut nous entendre ici » dit-il «Et je veux que tu l'enlève, tes soupires sont une bénédiction ».
Sa main retrouve doucement mon pubis et ses doigts frôlent mon sexe alors que je me tends d'impatience et désir.
Je m'accroche à sa chemise quand il vient glisser ses doigts le long de mon vagin et que sa paume frotte mon clitoris.
Ses lèvres reprennent d'assaut mes lèvres et sa langue vient trouver la mienne pour donner à se baiser encore plus d'érotisme.
Pendant ce temps, il rentre un doigt en moi et je gémis alors qu'il me regarde faire.
Puis il introduit un deuxième doigts qui me fait basculer la tête sur le coussin derrière moi et il commence à donner un rythme à ses doigts ni trop doux ni trop violent.
Je sens mes joues s'empourprer face au désir qui grimpe de plus en plus.
Arthur décale ma chemise qui tombe sur mon épaule et vient sortir mon sein afin du passer sa langue dessus et de tourner autour de mon téton.
«Mon Dieu » dis-je en gémissant de plus en plus.
Quand il a fini d'embrasser mon sein et il revient vers mes lèvres pour un énième baiser avant de se relever.
