Chapitre 58

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Deux jours viennent de passer depuis le retour des garçons à Camelot

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Deux jours viennent de passer depuis le retour des garçons à Camelot.

Et ce soir comme à chaque retour du roi, se trouve une petite soirée.

Et il s'agit de la première réception que je fais en tant que Reine.

Victoire referme le boucle de mon collier pendant que je la remercie.

Je me lève et je me dirige vers ma couronne que je viens moi-même placer sur ma tête.

«Tu es prêt ? » je demande à Arthur une fois être passé dans la chambre du roi.

«Oui».

Je lui prends la main et nous sortons de notre chambre pour nous diriger vers la salle de réception.

«Tu es splendide comme toujours ».

Je le regarde et il me fait un clin d'œil.

«J'ai cru le comprendre ».

En effet, je n'avais pas encore fini de me préparer qu'Arthur m'a dévêtue pour profiter encore une fois de nos retrouvailles.

Nous arrivons dans la salle et après une révérence offerte par chacun, nous venons nous diriger vers le buffet où je saisis deux coupes avant d'en passer une à mon époux.

«À notre retour » s'exclame Arthur en levant son verre.

«Santé ».

Je lève également mon verre et je viens trinquer avec mon roi avant que la musique ne reprenne.

«Je te laisse, je vais rejoindre François et Caradoc » me dit Arthur en déposant un baiser sur mes cheveux.

Je le regarde partir tandis que Mathilde et Morgane se dirigent vers moi.

«Vous êtes en retard madame la reine ».

«Oui, le roi et moi étions occupés dans une affaire urgente ».

Morgane pouffe de rire et je viens boire une gorgée de vin amusé également.

«Yseult n'est pas là ? » je demande.

«Non, ils ont préférés resté dans leur appartement avec Tristan, histoire de se retrouver » me dit Mathilde «Tristan s'est fait un sang d'encre tout le long pour sa femme et son bébé ».

«C'est normal » dis-je «Nous même n'étions pas rassuré alors je n'imagine même pas ce qu'a pu ressentir Tristan».

Nous venons picorer dans des assiettes avant d'aller s'asseoir plus loin.

«Les préparatifs avance comme vous le désirez ?».

«Oui, enfin on attend le printemps » me. dit Mathilde.

«Voilà quelqu'un de censé, qui se mari l'hiver ? » ose dire Morgane «Oui, mais vous c'est pas pareil, vous n'auriez pas pu attendre plus ».

Je le lève les yeux au ciel amusé de sa réponse.

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