Chapitre 67

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J'attends que les exclamations se taisent et durant ce temps je regarde les courtisans, les serviteurs ainsi que les soldats qui vivaient ici

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J'attends que les exclamations se taisent et durant ce temps je regarde les courtisans, les serviteurs ainsi que les soldats qui vivaient ici.

Mon regard ce pose sur l'un d'entre eux et je viens sortir une flèche que je positionne sur mon arc et je viens viser son cœur.

Il me regarde avec un sourire narquois et il n'essaie même pas de prendre la fuite, je lâche ma flèche qui vient se planter dans son cœur faisant taire tout le monde.

Je prends la parole en criant pour que tout le monde puisse entendre.

«Voilà ce qui arrivera aux traîtres. Cet homme se nommait Charles et c'est lui qui m'a redonné à mon père. D'une manière ou d'une autre il a causé tout ça ».

Les habitants de la Carmélide me fixent pendant que je poursuis.

«À partir d'aujourd'hui la Carmélide n'existe plus. Vous êtes et resteraient des habitants de Lorgres. Votre roi est à présent Arthur de Pendragon ! Rien ne sert de courir avertir les royaumes voisins car ils sont déjà au courant de ce qu'il se passe. Alors soit vous apprêtez allégeance à votre nouveau roi et promettez aucune rébellion ou soit vous finirez comme cet homme ».

C'est finalement peu de temps après que les nouveaux habitants de Logres viennent plier le genoux.

«Ne pensez pas qu'on est contre vous parce que ce n'est pas le cas. Maintenant nous sommes un unique et même royaume parce que j'ai finalement récupéré ce qui me va de droit ».

«QU'EST-CE QUI NOUS PROUVE QUE VOUS DITES VRAI »

«Vous seriez déjà mort sinon, il me semble que vous avez été épargné ! Ce sont les personnes qui m'ont fait du mal que j'ai attaqué, vous n'y êtes pour rien et je m'excuse pour se désagrément ».

«Vous avez trois heures pour faire vos bagages et vous avez également le droit de prendre tout ce que vous désirez dans le château, en toute bienveillance ».

Je les vois se regarder entre eux pendant quelques secondes.

«Le château va être détruit, les catapultes bien rangés de mon père viendront détruire les pierres de ce palais, alors servez-vous ».

«Soldat de Logres, allez les surveiller, je veux que tout ce passe comme il faut ».

La place se libère petit à petit, certains soldats rentre dans le château, d'autre repartent vers les campements et 200 d'entre eux suivent Perceval pour sortir et mettre en place les catapultes.

«Est-ce que ça va ? » me demande Arthur alors que je me tourne vers lui.

«Oui, je suis simplement fatigué et... »

«Tout est fini maintenant, les personnes qui t'ont blessé ne sont plus de ce monde. Tu vas pouvoir aller de l'avant maintenant ».

«J'aimerais te montrer quelqu'un et quelque chose » dis-je en prenant mon arc à la main.

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