Versace: Agenzia Segreta

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À quel moment avais je perdue le contrôle de ma vie? Quand est ce que j'avais franchis l'infranchissable? Y avais je en moins songé? Étais je consciente du sacrifice? Tant de questions rythmaient mon existence depuis que tout s'était écrouler. Des questions sans réponses et une vie sans objectifs. Pourtant une lueur, ou plutôt un reflet s'était dessiné dans cette nuit. Une obscure clarté m'avais rejointe et me tendant la main, j'avais acceptée.
Ceci avait étais ma première erreur.
Pour tout vous dire cette vie
catastrophique m'appartenais. Je m'appelais Cara Vitale et du haut de mes vingt ans ma vie avais était chamboulée. Un enchaînement d'emmerdes m'avais apostropher. Et comme si je les attirais elles ne m'avais jamais lâché.. Imprudente et sans cervelle quitter Milan pour Rome n'étais déjà pas l'idée la plus brillante que j'avais eu. Mais qu'aurais pu faire? Née d'une mère sur protectrice et d'un père absent la voie n'était pas définis. D'un coup de tête alors j'en avais décidé ainsi.
Une seconde erreur.
Malgré tout et même si le chemin était  un peu chaotique je m'étais faite à cette vie bancale. Courageuse de mon défunt père. Un homme plein d'entrain et de mystère mort au combat il y a des années, il m'eus au moins transmis quelques gènes. Effectivement et même si le bureau de la directrice lors de mes années d'études était ma seconde maison j'étais plutôt bonne élève. Pour dire vrai, j'étais une des meilleures et ma réussite ne s'était pas arrêtée là. Atteignant rapidement un niveau plus qu'excellent en sport de combat j'avais tout abandonné alors que je m'engageais dans l'armée lors de ma majorité. Lorsqu'a la fin de la première année j'avais terminé major de ma promo je décidais de mettre fin à ma carrière. Je vous l'accorde cette décision bête et irréfléchie m'avais valu beaucoup d'angoisses et de regret mais que pourrais je dire . Je me lassais vite, vilaine habitude. Au fur et à mesure des années je m'étais adonner à diverses activités. Moins dangereuse et je vous l'accorde plus ennuyeuses. Finalement devenir détective privée m'étais alors paru une bonne idée. Travaillant à mon compte toutes les décisions me revenais et c'est ce que j'aimais le plus. Travaillais à mon propre compte avais était un des critères déterminants à ma reconversion. Parce que me faire exploiter, par un employeur exigeant et autoritaire, pour un salaire minable et des horaires exorbitantes était une infamie pour moi. Au final je ne me rappelle plus quand tout est devenue aussi fade. Peut être était ce le destin ou une coïncidence qu'importe, cela l'était devenue. Au fil des ans des remords m'avais assaillis et je m'étais adonner au bénévolat sur un coup de tête. Aussi étonnant que cela puisse paraître cela m'eus tout de suite plu. Seulement une nouvelle fois et même lorsque mon cœur tenter de bonnes actions les ennuis déboulaient. Et cela j'en avais fais les frais lorsque j'avais commencer à distribuer de l'argent à quelques mendiants. Détériorant l'image de ces ces voleurs crapuleux je m'étais mise à dos la mafia . Je vous avoue avoir ris lorsque je le compris, encore une fois à mes dépens. Et pourtant rien ne m'avais paru aussi grotesque. Car ici personne n'avait encore compris.
J'étais la seule décisionnaire ici. Je décidais de vivre ou je décidais de mourir. Par strangulation ou par noyade, je décidais. Je décidais parce que je ne me soumettais à personne.
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Voilà, le premier chapitre de Versace :  Agenzia Segreta, j'espère qu'il vous plaira, n'hésitait pas à me faire part de vos impressions! Bonne lecture!