Versace: Agenzia Segreta

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Amoureuse, oui, j'étais amoureuse de Dante Pasini. Et bordel que-es-ce que cela m'effrayais! Il mit fin à notre baiser afin de reprendre son souffle.

-Tu veux toujours partir?

Je lui frappais l'épaule et me blottis dans ses bras. La pression et l'anxiété redescendus j'avais laisser mon cerveau réfléchir. Malheureusement et à mon plus grand regret j'avais du me rendre à l'évidence. Dante n'y pouvait rien, tant que je ne passais pas tous les tests la possibilité d'intégrer cette agence était impossible.  Et même si cela me tuait car leurs manières moyenâgeuses aurait ou même faire passer l'arme à gauche je m'étais résolu. Ces enfoirés n'avaient fait que leurs travails. D'une respiration presque suffocante je susurrais.

-Ne fais plus jamais ça, ne les laisse plus jamais....

Il ressera notre étreinte lorsque les mots se bloquèrent au fond de ma gorge.

-Je suis tellement désolé, je n'ai pas respecté ma promesse.

-Tient là maintenant.

Dis-je en sanglotant légèrement. Reprenant lentement ma respiration, j'essuyais mes larmes. Je devais être forte et puis je n'étais pas seule maintenant. Alors que je me décollais de lui je sentis une affreuse douleur au niveau de mon ventre. Je mis automatiquement mes mains dessus.
Les retirant après quelques secondes
j'aperçus qu'elles étaient ensanglantées et les remis tout de suite.
Dante qui c'était éloigné pour remettre les vêtements de mon sac à sa place ne remarqua pas qu'une de mes blessures c'était réouverte. Je l'appelais alors.

-Dante.

Il releva automatiquement les yeux vers moi en souriant mais lorsqu'il vit mes mains pleines de sang poser sur mon ventre son expression changea.
Il accourut vers moi et me pris dans ses bras. Il m'amena sur le lit et m'ordonna de ne pas bouger. Il partit à dans ce que je croyais être la salle de bain et revint quelques secondes après muni d'une trousse de secours.

-Allonge toi.

Me dit-il d'un ton autoritaire. Je ne protestais pas en vu de la douleur que m'infliger cette affreuse blessure.
Je fis donc ce qu'il me dit. Il voulut enlever mes mains de mon ventre mais je résistais.

-Si tu n'enlèves pas tes mains cela va être difficile de te soigner.

Je retirais alors mes mains et il releva mon haut. Il commença par nettoyer tout le sang avant de désinfecter et de bander mon ventre. Prenant une grande inspiration, je lui souris épuisée.

-Merci.

Lui chuchotais-je doucement. Il m'embrassa le front et éteigna les lumières avant de se coucher à mes côtés. Il se rapprocha alors puisque moi je ne pouvais pas et passa un bras sous ma nuque.

-Au fait c'est quoi cette chambre?

Lui demandais je alors qu'il commençait à fermer les yeux.

-La tienne.

-La mienne? C'est vrai que c'est mieux que le dortoir.

Il me tira vers lui ce qui me fis lâcher un juron.

-Mon ventre!

Il m'embrassa sur le front en guise de pardon et nous nous endormîmes alors, l'un contre l'autre.