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-Qui êtes vous? Et comment connaissez vous mon nom?

Demandais-je d'un ton agressif.

-Je sais que tu dois te poser un million de question je te propose donc de me rejoindre demain à cette adresse, comme ça je pourrais tout expliquer.

Dit-il en me tendant un morceau
de papier comportant le nom d'un café situé dans le centre.

-A demain Cara.

Finit-il par me lancer avant de tourner des talons. Ne le quittant pas des yeux je vis sa silhouette disparaître dans la nuit. Bon sang, mais c'était qui lui? A toute vitesse je rentrais chez moi,
comme à mon habitude fermant à double tour. J'attrapais mon ordinateur et tout en enlevant mes chaussures d'un revers de la main. Je déverrouillais mon portable. Accédant alors à ce fichier que j'avais piraté, il y a peu, une sorte de reconnaissance spatiale de la police. N'ayant pas de photos, je tapais sa description dans la barre de recherche. Je n'avais pas vu grand chose mais cela devrait suffire. Tapant sur entrée, j'attendis.
une minute,
deux minutes,
trois minutes,

-Quoi!!?

"Aucune personnes ne correspond
aux termes de recherches spécifiés"
Ayant chercher dans la catégorie
"sur entraîné", donc tout ce qui
était service secret, police ect.. Je me dirigeais, malheureusement, sur la partie civile du logiciel, sachant pertinemment, de ne pas le trouver. Si ce genre d'homme n'était pas reconnue, dans ce genre de classe, ils ne le seront jamais dans celle-ci. Comme je l'avais prédis, rien n'était reconnue.
Génial!
Je n'irais pas au café. Mais si je n'y vais pas je ne saurais jamais qui il est.
Bordel.
La curiosité l'emporta. Sur cette décision je refermais l'ordinateur et m'endormis pensive.

Il était neuf heures du matin lorsque
je m'éveillais, sans perdre une minute, je me préparais. Après ma douche, ma tenue se composa d'un pull ainsi que d'un pantalon noir. Des bottines ainsi que mon long manteau noir et je descendis. Me trouvant alors devant ma fausse bibliothèque, je fis pivoter les fleurs du mal qui fit soudain déplacer l'étagère. Riant à ce que Baudelaire en aurait penser n'abcéder enfin à la partie préférée de mon appartement. Une pièce emplit de tous les bijoux que j'avais de plus précieux. Je vous l'accorde pas des bijoux ordinaires. Une dizaine d'armes à feu, quelques couteaux, plus deux trois grenades, rien de bien méchant.
J'attrapais donc un magnum de neuf
millimètre que je plaçais dans l'arrière de mon jean. Refermant après avoir pris le nécessaire, c'est bien décider à le rencontrer que je sortis de chez moi.

Versace: Agenzia SegretaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant