Versace: Agenzia Segreta

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Je sortis en claquant la porte. Ce que je redoutais arriva alors, plusieurs larmes dévala le long de mes joues sans que je ne puisse les retenir. IL m'a laisser me faire torturer. Mon dieu mais sur quel malade étais -je encore tombé? J'entrais furieusement dans la pièce où je m'étais réveiller quelques minutes plutôt. Attrapant plusieurs sacs qui se trouvais dans le dressing je commençais à balancer tous mes vêtements à l'intérieur.  Je ne prenais pas la peine de les plier, de toute façon se serait peine perdue en vue de ma vue brouiller par les larmes. J'entendais  quelqu'un s'approchait de moi.
Encore lui, je le savais. Il essaya de toucher ma taille de ses mains mais je m'éloignais rapidement en me retournant.

-Je t'interdis de poser ne serait-ce qu'un doigt sur moi!

Clamais-je toujours les larmes aux yeux.

-Je t'en prie Cara, laisse moi m'expliquer.

-M'expliquer!? M'expliquer quoi!

Hurlais-je, je ris jaune.

-M'expliquer quoi!? Que l'homme que j'aime m'a laisser me faire torturer par un de ses collègue!

Je portais instinctivement une main sur ma bouche. Oh non qu'est-ce que j'avais dit. Je venais de lui avouer que je l'aimais. Son visage auparavant triste affichait maintenant une moue surprise.

-Répètes ce que tu viens de dire.

M'ordonna t il. Non mais je rêve.
Sans réfléchir je lui assénais une gifle.
Commençant à le pousser, déversant ma haine pendant que lui ne bougeais pas. Je vais te réveiller moi tu vas voir.
Je m'apprêtais à lui assénais une deuxième gifle mais il attrapa mon poignet en vol. Je ne me contrôlais plus, il fallait que j'extériorise toute la colère que j'avais contre lui et contre cette agence. Je lui fis alors un coup en traite et sans s'y attendre, il tomba au sol. Avant même que je n'ai le temps de réaliser j'étais moi au sol et lui debout.
Alors que je décidais de me relever pour cette fois-ci lui collai mon poing dans la figure, il monta à califourchon sur moi et me bloqua les deux bras de parts et d'autres de ma tête.

-Calme toi Cara!

-LÂCHE MOI!

Criais-je en me débattant.

-Je suis désolé Cara, je n'avais pas le choix, c'est une épreuve inévitable, je n'ai rien pu faire.

Je stoppais mes débattements en lui demandant doucement de me lâcher ce qu'il fit immédiatement. Je me relevais et continua de faire mes sacs.

-Que-est-ce que tu fais?

-Je me casses, ça se voit pas.

Il me plaqua alors au mur et m'embrassa sauvagement, mon corps répondît instantanément en se collant plus à lui. Malgré que je lui en voulait je ne pouvais pas résister à ces baisers enflammées. Je n'y arrivais pas, je ne le voulais pas.
Bipolaire?
Non.

Amoureuse.