Versace: Agenzia Segreta

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Point de vue de Cara:
Oh Dio!
Faites que je sois entrain de rêver. Cela ne se pouvait, je ne venais pas à l'instant d'embrasser Dante Pasini,
mon manager,
mon recruteur,
mon supérieur!
Je.... Je ne savais plus quoi dire quoi faire mes mots étaient sortis tous seuls de ma bouche comme un réflexe.
Je n'avais pas réfléchie. Mais nous n'aurions jamais dû faire ça!
C'est mal!
Très mal!
On a pas le droit!
Oui mais....
C'était tellement bon!
J'avais imaginé cette instant des dizaines de fois! Surtout depuis l'épisode de la salle d'entraînements. Mais c'était si... Intense! Si agréable, si doux mais en même temps si suave et sauvage. Je ne pouvais plus m'en passer. Je ne voulais plus les quitter. Je ne pouvais plus m'en séparer.
Bordel.
Il me fixa alors, une expression surprise. Ce fut la première fois que je le vis faire quelque chose qu'il n'avait pas contrôlé. Il avait totalement perdu pieds en m'embrassant. Succombant à un désir inavouable. Se rendait il compte des conséquences? Ou pensait il que ceci n'était qu'une grossière erreur? Et s'il regrettait? Et s'il n'avais pas du tout aimé? Et si...? Mes spéculations cessèrent lorsque je vis son air supérieur, agaçant et arrogant se former sur son visage en un rictus.
Il avait l'air si sûr de lui en cet instant.
Comme s'il se rendait compte des conséquences. Mais n'en ferait rien non plus. Il s'approcha alors doucement de moi.
Oh non!
Je me retournais et partis à grandes enjambées. Alors que je montais les escaliers tout en les enjambant trois par trois. Un bras m'attrapa le poignet.
Je ne me retournais pas et éjectais ce corps étrangé. Un peu radical mais expressif. J'étais totalement perdue. Il me fallait du temps. Beaucoup de temps. Je quittais l'escalier et me dirigais vers ma chambre mais il se mit devant moi me barrant le passage. Je fus stupéfaite par sa détermination. Me désirait il tant que ça? Alors qu'il s'approcha de nouveau de moi je fermais les yeux. Alors que j'attendis le contact de ses lèvres. Je le sentis déposer un chaste baiser sur mon front. Automatiquement je rouvris les yeux surprise. Il resta un moment sa bouche appuyer sur mon front puis finit par me susurrer à l'oreille.

-Buona notte mia dolce.

Puis s'en alla, sa silhouette disparaissant dans le noir. J'entrais alors dans le dortoir et m'allongeais dans mon lit. Mais qu'allais je faire?
Après lui, j'avais dit qu'il n'y en aurait plus.