Versace: Agenzia Segreta

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-Mon père était un tueur en série depuis quelques années avant ma naissance. Ma mère lorsqu'elle l'a rencontrer ne le savais pas, elle savait bien sur que ce n'étais pas un enfant de cœur mais ses sentiments pour se monstre était bien trop fort alors elle ferma les yeux sur certaines choses. Il n'avait jamais était violent avec elle ou même bizarre jusqu'à ce qu'elle tombe enceinte.

Il fit une pause et avale cul sec son café.
Je le remerciais intérieurement de ne pas avoir commandé de vodka.

-Lorsqu'elle est tombé enceinte de moi et de ma sœur et qu'elle lui a annoncer il est devenu fou, il a complètement disjoncter. Il a essayer de l'étrangler en ne cessant de lui répéter qu'elle le rendait bon mais qu'avec ça il continuerait toute sa vie. Complètement désemparée elle avait appeler la police et dès qu'il l'avait su il c'était enfui tel le lâche qu'il était. Quand la police est arrivé est que ma mère leurs ai expliquer ils lui avaient montrer une photo de mon père. Et c'est là qu'elle l'avait appris. Mon père était un tueur en série qui torturer des femmes enceintes. En creusant un peu plus sur son enfance ils avaient appris que mon père était un enfant non voulu. Ses parents deux camés, l'avait abandonner dans une ruelle. Ce qui était sûrement et très certainement les raisons de ses meurtres répétés. Malgré les nombreuses recherches qu'avait fait la police et moi du côté du Versace nous ne sommes jamais arriver à le retrouver.

Il souffla visiblement en colère.
Je lui attrapais la main et là serrais un peu plus fort. C'était le seul moyen de lui montrer que j'étais là, qu'il n'était pas seul. Que malgré les frissons qui avait parcouru mon échine lors de son monologue, ceci ne réussirait à me faire fuir. J'étais bien placé pour savoir qu'il ne fallait pas faire confiance aux gens et que malgré leurs apparence si angélique pouvait se cacher le mal incarné. Les personnes les plus gentilles étaient souvent les plus méchantes à l'intérieur et lorsque ces personnes étaient des membres proches le coup de massue se faisait plus violent. Cela en devenait plus douloureux qu'un choc, cela t'abattait et même si au fond de toi tu essayais de te battre et d'effacer ces visages qui tu savais ne te laisserons jamais en paix,
qui pourrissaient ta mémoire et qui par le moindre détail te faisais ressurgir des souvenirs si longtemps enfoui. Ils faisaient malheureusement et jusqu'à la mort partis de toi.

-Je suis désolé de t'avoir fait revivre tout ça Dante.

-Ne le sois pas tu était dans le droit de connaître cette triste vérité qui déshonneur ma famille a chaque instant.

Ces derniers mots se brisèrent, résonnant avec mon cœur de le voir aussi faible. Je me fis l'horrible constation que faible ou fort Dante était un homme incroyable. Incroyablement magique et admirable. Je soupirais silencieusement, l'amour me faisais vraiment dire n'importe quoi. Mais Seigneur qu'est ce que je pouvais l'aimer.