Versace: Agenzia Segreta

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Aujourd'hui nous sommes vendredi, une semaine que j'étais dans
cette « école » et j'en avais déjà marre
pas parce que je n'y arrivais pas, non sans me venter je réussissais toutes les épreuves, les exercices ou les entraînements. Non le vrai problème
c'est que c'était dur, c'était très dur et très chiant. Rien à voir avec ma petite vie tranquille de détective privée. Tous les vendredi nous devions passer la journée complète avec la personne qui nous avait recruter. Par conséquent moi c'était Dante. Concrètement je ne savais pas si j'étais contente ou anxieuse. Je ne savais même pas pourquoi je devrais être anxieuse. Après tout, ce n'était qu'un homme
comme les autres rien de plus.
Passons, j'étais donc devant son bureau. Je m'apprêtais à toquer lorsque la porte s'ouvrit sur un Dante aussi classe que d'habitude portant son éternel costume bleu marine. Il avait l'air étonner de ma venu mais remplaça  rapidement cette expression, par son habituel sourire charmeur.

-Si pressée de me voir, que tu ne pouvais pas attendre que je vienne te chercher?

-Je n'ai pas besoin qu'on on vienne me chercher, je suis assez grande pour me déplacer sans escorte, merci.

Repondis-je au tac au tac en entrant dans la pièce. Il se décala et ria.
Lorsqu'il referma la porte je me trouvais déjà debout à côté de la chaise placé devant son bureau. Oui j'étais quand même bien éduquée, malgré quelques imperfections de vocabulaire de temps en temps.  Il s'assied et me dis d'en faire autant. Je m'exécutais.

-Je vois que la bonne éducation est aussi une de tes qualitées.

Je ne relevais pas, il continua.

-Je te félicite, tu est une des premières dans le classement, je n'en attendais pas moins de toi.

-Merci.

-Alors comment c'est passer ta semaine?

Dit-Il en se relâchant légèrement et en posant son dos contre le dossier de son fauteuil en cuir.

-Très bien et la tienne?

-La mienne est passer difficilement, mais j'attendais de ta part une vrai réponse.

Dit-il un sourire en coin.

-Dur et chiante.

-Et je constate que ton vocabulaire n'a pas changer.

Grogna t-il.

-Tu t'es vraiment bien débrouillé à la première épreuve.

-La course?

-Oui.

-J'ai juste.....couru.

Répliquai-je hésitante.

-Oh oui, ça j'ai vu.

Un petit sourire se dessina sur mon visage pendant qu'il continua.

-Sais-tu à quoi t'attendre pour la deuxième épreuve?

-Un truc dur et chiant?

-Comme tout ici, mais plus précisément, tu n'as aucune idée?

-C'est toi qui travaille ici, pas moi.

-Tu vas avoir à faire à une épreuve un peu plus compliquée que l'autre et que les futurs autres,  c'est une épreuve déterminante, à la fin de cette épreuve,
les cinq dernières personne du classement partirons.

-Comment? Les cinq mais normalement c'est un.

-Pour les autres oui, mais celle là est différente, elle se passe toujours à la deuxième semaines des jeunes recrues, c'est pour nous, comme,une sorte de tri, pour jeter entre guillemets, les éléments les plus faibles rapidement.
Normalement je n'étais pas censé te le dire, donc si tu pouvais tenir ta langue.

-Oui, oui, mais en quoi consiste cette épreuve?

-Je t'en ai déjà beaucoup trop dit, tout ce que je peux te dire c'est de ne pas
paniqué, surtout, ne pas paniqué.

Comment vouliez vous que je ne panique pas lorsque de tels mots sortait d'un homme qui ne semblait avoir aucune faiblesse? Si lui me demandait de ne pas paniqué qu'en serait il de moi? Non, là vrai question était plutôt, qu'en adviendra t-il de moi lors de cette épreuve?

**

Nous étions lundi et c'est aujourd'hui qu'en j'allais passer la fameuse épreuve. Pour tout vous dire, j'angoissais. J'en angoissais tellement que le week-end m'avais paru bien court. Me plonger dans des livres n'avais alors servis à rien, et pourtant Dieu seul sait à quel point d'habitude cela avait le don de me calmer. Eh bien non, les derniers mots de Dante avaient  fais écho en moi et pour cela je ne le remerciais guère. Comme une prière je les répétais alors, espérant secrètement que cela fonctionne..
Ne panique pas
Ne panique pas