Versace: Agenzia Segreta

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J'émergeais doucement d'un sommeil reposant. Tapotant le côté où c'était endormit Dante la veille je n'y retrouvais que mes draps. Je me levais alors de mon lit et partis à la douche.
Une bonne demi heure plus tard,
je sortis de ma chambre habillée d'un pull assez large ainsi que d'un jean. Laissant mes cheveux lâche je parcourais l'agence des yeux,
ou plutôt l'étage. J'étais au dernier,
celui où il y a à peine quelque semaines je n'avais pas le droit d'accès. Je descendis les marches jusqu'à arriver au bureau de Gaspard. Depuis hier j'avais beaucoup réfléchis et je pensais m'être légèrement emportée. Je n'excusais pas leur attitude ni ne tolérais leurs épreuves mais bon. J'avais tout de même acceptée de rentrer dans cette agence pour devenir un agent donc il fallait peut être que j'assume mes actes. Toquant maladroitement à la porte, j'entendis un vague « entrez ». Lorsque je le fis je remarquais deux hommes sur les chaises en face de son bureau.
Mon très chère Dante et....
Oh bordel! C'était l'enfoiré qui m'avait torturé. Je vis à cet instant rouge.
Aussi vite que je le pus j'attrapais un de mes nombreux couteau cacher sur moi pour le lui envoyait dans l'épaule.
Il gémît fortement et Dante se leva précipitamment suivie de Gaspard.

-CARA!

Me cria Gaspard visiblement irrité par mon manque de contrôle. Dante lui me fit les gros yeux comme pour me dire que cela allait mal finir si je ne me calmais pas tout de suite. Je m'approchai alors de l'autre batard et lui retirais ma lame lentement, je la nettoyais sur sa chemise avant de la replacer dans ma chaussure.

-Ça va tu t'en sors bien, j'avais dit que je te trancherais la gorge.

Toujours assis il grognait de mécontentement. Il voulut parler mais je le coupais.

-Non la fermes, je ne suis pas venue pour toi. Donc tu la boucles.

Choqué par mes mots il la mit en veilleuse.

-Donc, je suis venu m'excuser auprès de vous monsieur, je pense m'être quelque peu emporté hier. Je vous pris donc de me pardonner.

Expliquais je avec désinvolture, il sourit tout de même manifestement satisfait par ce que je venais de lui dire.
Il s'approcha alors de moi et posa une main réconfortante sur mon épaule.

-Pour répondre à ta question de hier, nous avions l'intention de te libérer juste avant que tu ne découvres la vérité, deuxièmement évidemment que j'accepte tes excuses, tu sais Dante m'a fait le même coup.

Je regardais un instant Dante, il semblait un peu agacé de notre proximité. Je souris intérieurement.
Serait-il jaloux? Gaspard reprit.

-Et troisièmement cela veut dire que tu acceptes le poste ?

-Je...

Je ne savais pas vraiment, j'aimerais mais... Mes doutes prirent fin lorsque je croisais le regard de Dante. Et à cette instant précis je savais exactement ce que je devais faire.