Versace: Agenzia Segreta

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-J'accepte.

Dis-je sur de moi. Il sourit de plus belle.

-Bien alors en tant qu'agent officiel, je te remet ceci.

Me dit-il en me tendant un papier et une arme à feu.

-Merci pour l'arme mais je suis plus à l'aise avec les couteaux.

-Ah ça on a bien vu.

Grogna l'autre imbécile encore sur sa chaise.

-Garde là quand même cela pourra toujours te servir.

J'hochais de la tête avant de ranger mon arme dans l'élastique de mon pantalon.

-Et ça c'est quoi?

Lui demandais je en lui montrant le bout de papier. Sur celui-ci était écrit.

« Un uomo ne val cento e cento non ne valgon uno »

(Un homme peut en valoir cent, et cent peuvent n'en pas valoir un)
Très énigmatique me dis-je tout en lisant le contenue du papier.

-Ceci est le code que tout les agents connaissent, lors des rencontres entre nouvelles agences par exemple tu devras dire ce code, ou tout simplement lorsque l'on te le demande mais méfie toi.

J'hochai positivement la tête suite à ses explications.

-Et bien agent Vitale, je vous présente sur ce, l'agent Lombardi.

L'enfoiré de mon calvaire se leva me tendant sa main d'un sourire pervers, je le détestais déjà.

-Aldo pour les intimes.

Me dit-il en me reluquant sans aucune gêne.

-Range ta main avant que je ne te la coupe, il cane. (=le chien)

-Oulala, mais c'est qu'on est susceptible, je t'ai même pas touché, sexuellement parlant que déjà tu t'enflammes!

-Aldo!

Répliqua Gaspard suite à cette remarque des plus déplacés et des plus machistes. Mais trop tard, il se trouvait déjà à terre le nez en sang.

-Dante!

Criait à présent Gaspard.

-Il l'a bien cherchée celle la.

Dit Dante s'essuyant son poing taché par le sang de Lombardi. Quand il eut finit il attrapa ma main et nous fîmes sortir du bureau.

-Tu aurais pu me laisser faire, il aurait plus souffert.

Lui dis-je en lui montrant un couteau.

-Ne prends pas ça à la rigolade. Lombardi est un pervers, macho et sadique envers les femmes. Ne t'approche pas de lui.

-Sinon quoi?

Repondis-je instantanément. Il me plaqua une nouvelle fois au mur en m'embrassant brutalement comme pour me punir de mon affront à son égard. Il fallait vraiment qu'il arrête de faire ça. M'embrasser à tout bout de champs n'était pas très discret.

-Je suis sérieux Cara, ne t'approches pas de lui, ne lui adresse pas la parole, ce gars est vraiment dérangé, il est là car il est très bon dans son domaine.

Dans son domaine? Comme s'il avait lu en moi il me dit.

-La torture, il sait ou appuyer pour faire mal, ou viser sans dangers et aussi ou tuer alors ne tente pas le diable s'il te plaît.

-Ce chien ne me fais pas peur.

-Je le sais dolce mio mais méfie toi.