Versace: Agenzia Segreta

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-Alors tout d'abord je vais t'expliquer pourquoi je t'ai enlevée. Donc mon boss m'a chargée de découvrir et par tous les moyens le plus d'informations possible sur une agence secrète.
L'agence du Versace ça te dit qu'elle que chose ma belle?

Bon eh bien pour la collaboration on repassera. Il y avait beaucoup d'adjectif péjoratif pour me définir mais certainement pas d'être une balance.
Affichant soudainement un air innocent je répondis:

-Aucune idée, désolée.

Dis-je avec un grand sourire ce qui m'amena à une nouvelle droite.

-Juste, par contre si tu comptes continuer tu pourrais passer à l'autre joue s'il te plaît? Parce que c'est un peu chiant la.

-Ah tu t'ennuies?

Me demanda dit il d'un ton joueur.
Je n'aimais pas du tout le ton qu'il venait d'employer. Faisant quand même comme si de rien était et arborant toujours un sourire narquois, je me mis à hocher vivement de la tête.

-Mais grave.

Lui répondis je tout en me marrant.
Ce que je faisais était de la folie pure le provoquer ne mènerait à rien à part celui de me faire exécuter ici dans cette cave sombre. Mais que voulez vous c'était la folie qui m'habitais en cet instant. Et c'est cette adrénaline qui m'empêcher de perdre pied dans ces moments là. Au lieu d'être apeurée telle une fillette je relavais fièrement la tête. J'étais extasiée et euphorique telle un spectateur devant un humoriste.
Il quitta alors quelque seconde la pièce et j'enlevais mon masque de folle dingue pour laisser apparaître finalement ma mine inquiète. Je me tournais dans tous les sens essayant de trouver un moyen de me détacher.
Mais rien, la pièce était totalement vide. Pas un caillou. Depuis quand les voyous faisaient le ménage? L'autre abruti arriva au même moment dans la pièce. Je déglutis intérieurement et avalais maladroitement ma salive lorsque je vis tout le matériel qu'il venait d'apporter. Il déposa le tout sur une table. Mon regard se portais alors automatiquement sur tout ces outils. Couteau, pistolet, ciseaux. Et j'en passe. Très vite je remis mon masque d'invincibilité.

-Et bien alors, tes grosses papates ne suffisent plus, il te faut des outils? En réalité je comprends tu....

Il me coupa en me giflant. J'avais horreur d'être giflé, je préférais cent fois prendre des coups. Je m'emportais donc à mes risques et périls.

-Non mais je rêve! Je ne suis pas ta bonne femme pour être giflée, sale connard!

C'était certainement la phrase de trop me dis je intérieurement, la phrase qui fera tout basculer mais que voulez vous autant mourir la tête haute non ?
Il commença alors a se déchaîner sur moi en me frappant dans le ventre. Me faisant perdre à de nombreuses reprises ma respiration. Il s'arrêta lorsque j'étais littéralement entrain de m'étouffer avec le propre sang que je crachais. Il se munit alors d'un couteau et revins vers moi.

-Ou en étions nous déjà?

Sans que je ne puis-je m'en empêcher,
je répliquais.

-On parler...... de ta bonne femme, j'espère qu'elle vaut le coup....... de mes futurs bleus.

Lui dis je malgré moi avec quelques difficultés. Ses yeux devinrent soudain plus sombre, oups. Il planta rageusement son couteau dans mon ventre. Je balançais ma tête en arrière et me mordis la lèvre pour m'empêcher d'hurler.

-Donc, je reprends

Dit-il en arrachant d'un coup sec le couteau de mon ventre.

-Tu as à peine vingt minutes pour me dire tout ce que tu sais sur cette agence.

-ET... il se passera quoi dans vingt minutes?

-Tu te videras entièrement de ton sang, donc je te fais pas un dessin.

Oui c'est bon j'avais compris espèce d'enfoiré. Bordel que est ce que ça faisait mal dans le ventre!

-Je veux le lieu, les effectifs, leurs but, leurs noms, je veux tout.

Faisant semblant de réfléchir je finis alors par dire.

-Non merci, j'ai pas du tout envie de parler la, désolée.

Lui dis je tout en souriant. Il ricana rageusement avant de me replanter avec son couteau. Je ne pus cette fois pas retenir mon cri. Cela le fit ricaner.
rigole, rigole.
Mais rira bien qui rira le dernier..