Versace: Agenzia Segreta

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Pendant mon absence à l'infirmerie avec Dante, qui au passage ne faisait que me chârier sur Louis Aragon, les trois autres groupes passèrent et j'appris donc par l'intermédiaire de Nora qu'il ne restait plus,
qu'elle, Jake je ne sais pourquoi ainsi que deux autres garçons et moi encore en selle. Mais heureusement aujourd'hui j'avais fait un carton et je me trouvais encore là. Donc profitons un peu..

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Aujourd'hui nous étions donc samedi et je devais normalement passer la journée avec Dante, je ne savais pas à quoi m'attendre. Non, en fait je ne savais jamais à quoi m'attendre avec lui quand j'étais en sa présence tout mes sens étaient en ébullition. L'excitation, la joie, le désir et l'anxiété étaient omniprésente lorsqu'il était à mes côté. J'avais vraiment parler de désir? Mes hormones devaient me jouer des tours. N'avais je pas dire qu'il n'était pas mon genre? J'avouais avoir étais un peu hypocrite sur ce coup là car, Dante était le genre de tout le monde, sans blagues.
Je ne savais ce qu'il se passait dans ma tête mais cela ne me plaisait pas du tout.
Je me trouvais alors devant son bureau, depuis environ un quart d'heure je l'attendais, au moment où j'allais toquer la porte s'ouvrit me laissant déroutée et je l'avouais un peu bête.

-Toujours aussi impatiente à ce que je vois?

-C'est une plaisanterie j'espère, cela fait quinze bonne minutes que je t'attend sur cette chaise qui sois dis tant passant n'est pas du tout accorder niveau couleur avec votre couloir.

Il étouffa un rire laissant dévoiler une dentition parfaite.

-Excuse moi j'étais au téléphone et c'était important.

-Laisse, alors, qu'est ce qu'on fait aujourd'hui?

-Que neuf heure du matin et déjà motivé? Tu m'impressionnes Cara!

-Que veux tu, un homme m'as dis un jour que je n'étais pas là pour glander alors.

-Un homme d'une grande sagesse.

-Je dirais plutôt agaçant.

Cette fois ci il rit à gorge déployée avant de passer son bras sur mes épaules et de m'amener en salle d'entraînement.

-Salle d'entraînement? Je sens la fatigue.

-Et bien alors, où est ta jolie motivation de toute à l'heure?

-Envolé.

Il sourit puis me dis d'aller me changer,
je m'exécutais et revins.
Je me fis une queue de cheval lorsque je le vis enfilé un tee-shirts.
D'accord,
Ok,
Il était beau comme un Dieu.

-Cara, viens.

Je le suivis jusqu'à mon rêve.
Une table ou y était disposée environ une centaine de variétés d'armes , il y avait de tout, des armes blanche jusqu'à des armes à feu.

-Choisis l'arme avec laquelle tu te sens le plus à l'aise et je t'aiderai à te perfectionner.

Me dit-il d'un ton calme mais serieux.
Sans une once d'hésitation, j'attrapais un magnifique couteau.
Je sens que cette journée va me plaire.