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Point de vue de Dante
(suite)

Après l'incident de la blessure ré ouverte nous nous étions couché l'un contre l'autre. Fermant les yeux bercée par sa respiration régulière j'ouvris instinctivement les yeux lorsque sa voix m'apparu.

-Au fait c'est quoi cette chambre?

-La tienne.

Lui dis-je sans même prendre la peine de me justifier.

-La mienne! C'est vrai que c'est mieux que le dortoir.

Me cria t-elle dans les oreilles. Grognant légèrement je la rapprochais de moi d'un simple mouvement de bras. C'est alors que je l'entendis jurais et réalisant peu à peu elle ne mit guère de temps avant de semer mes doutes.

-Mon ventre!

L'embrassant sur le front, je chuchotais un faible désolé contre son oreille. Se calant contre moi, je la sentis se détendre alors que ses muscles se déliaient. Je ne du attendre qu'une dizaine de minutes avant qu'elle ne s'endorme profondément. Il fallait dire que ces derniers jours, elle avait était servit en sensation forte. Pensant et repensant à tout ce qui s'était passer depuis notre rencontre officielle je souris. Si j'avais su après des années de surveillance qu'en elle j'aurais trouvé mon âme sœur je serais aller la sauver plus rapidement. Ce n'était pas des situations dangereuses qui manquait dans sa vie et même si elle gérait très bien seule c'était à mon tour à présent. À mon tour de veillait sur elle, de la protéger des autres et d'elle même. Elle était si fragile mais si impulsive que chaque instants était dangereux pour sa vie. Je ne savais quand tous ces sentiments s'étaient développé. Était ce dès que nos regards s'étaient croisés? Est ce que c'était encore une fois bien avant? Alors qu'elle ne connaissait même pas mon existence? Tout s'était passer si vite, en quelques semaines ma routine avait était basculé même si je vous avouais qu'avec l'agence la routine n'existait pas. Mais si il y a avait eu des changements. À présent lorsque mon esprit vagabondait il ne réfléchissait plus de la même façon. Aujourd'hui je pensais à elle, chaque minutes, chaque secondes. Oh oui j'étais fou amoureux de ce petit bout de femme posé au creux de mes bras. Soufflant une énième fois je me relevais délicatement prenant bien soin de ne pas la réveiller. Me retrouvant sur le balcon c'est les deux mains appuyé sur la balustrade que mon regard se perdis vers le ciel étoilé.

-Oh colonel ne m'en voulait pas trop..

Dis je un regard vers la belle endormie.

-Je vous promet de veiller sur elle, et ça quoiqu'il arrive..

Une dernière pensée pour cet homme si admirable et je retournais, au près de ma belle.

Versace: Agenzia SegretaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant