Imagine Tony Stark/ Robert Downey Jr ❤

J'vide la bouteille / Tony Stark

Il n'était pas tard et pourtant dans la villa des Stark, l'homme de la maison avait déjà bien bu. Certes Tony supportait bien l'alcool, mais lorsqu'il était bourré on ne pouvait plus l'arrêter. Il était seul, affalé sur le canapé de son salon. Oui, il n'y avait là qu'un seul homme déjà bien amoché par son scotch. 

Un verre à la main et une bouteille presque vide posée sur la table devant lui, il ne retenait plus ses larmes : il préférait les laisser couler pendant que personne ne le regardait. Tony était fort, personne ne devait savoir qu'à l'interieur de lui son coeur battait à tout rompre. Personne ne devait savoir que pendant des années il avait pleuré seul chaque soir de sa vie. Personne ne devait savoir que Tony était humain, personne sauf toi. Voilà pourquoi il pleurait : tu n'étais pas là. 

La derrière goute d'alcool coula de la bouteille et tomba dans le verre du milliardaire, rejoignant le reste du lique qu'il bu d'une traite. 

- Y/N, soupira-t-il en se levant.

Il tituba jusqu'à la cuisine, fouilla dans un placard, en sorti une bouteille de whisky et l'ouvrit sans hésiter une seule seconde. Il resta ainsi, regardant la bouteille, une dizaine de minutes avant de l'apporter directement à ses lèvres et d'en prendre quelques gorgés. Il n'avait pas eu la patience d'aller prendre son verre posé sur la table, il  n'avait d'ailleurs pas voulu aller le chercher. Retrouvant  son canapé, il ne remarqua même pas que Bruce était entré chez lui. Banner fit mine de tousser pour attirer l'attention vers lui et Tony le vit enfin. Il avait tourné la tête lentement, très lentement, et il avait finalement souri -très légèrement - en voyant son ami. 

- Tony, qu'est ce que tu fais ? interrogea Bruce inquiet, venant s'assoir à côté de lui.

- Je boiiiis ! répondit Tony tout joyeux en criant et en riant tout en faisant de grands gestes avec ses bras. 

Bruce soupira et réussi, avec beaucoup de mal, à lui retirer sa bouteille et son verre.

- Où est Y/N ? Elle ne te laisserai jamais te saouler comme ça.

- Partiiiiiiie, répondit le milliardaire en riant. Elle est partie ! s'énerva-t-il alors en tapant son poing sur la table. Elle est partie ... se mit-il à sangloter en posant sa tête contre l'épaule de Bruce qui le rassura du mieux qu'il pu. J'l'aime tellement bordel. Regarde moi ; je suis incapable de rester trente secondes sans elle, je fais que des conneries quand elle est pas là. J'ai vidé une bouteille en même pas une demi heure, j'en ai ouvert une autre... Bruce, j'suis perdu sans ma femme, j'suis perdu. 

Et les larmes avaient de nouveau coulé le long de ses joues, sans qu'il ne puisse rien y faire. C'était un Tony triste et vulnérable que Bruce voyait là, un Tony que personne ne connaissais à part toi. 

- J'ai fait une connerie Bruce, je sais. C'est ma faute si elle est partie, de toute façon c'est tout le temps ma faute mais si tu savais comme je l'aime ... J'l'aime à en crever. J'pourrai mourir pour elle Bruce, tu te rends compte de ça ?! il soupira avant de reprendre. Je l'aime tellement, c'est la seule que j'ai aimé à ce point ...

- Tony ? questiona une voix derrière les deux hommes.

Tu étais arrivée, ton sac serré dans tes mains, inquiète de ce que Tony avait pu faire et surtout, regrettant ce que tu avais fais.

- Tony, tu penses vraiment tout ce que tu dis ? repris-tu en reniflant montrant que toi aussi tu avais pleuré.

- Bien sûr que je le pense chérie, dit-il en se levant avec difficulté du canapé pour venir te faire face.

- Excuse moi ... je me suis emportée... je n'aurait jamais dû partir, te confias-tu en baissant le regard.

Tony, en te voyant ainsi, se mit à sourire légèrement. Il glissa son index sous ton menton et le releva doucement vers lui. D'un geste souple il essuya tes larmes et te serra immédiatement contre lui. Les bras autour de son corps, la tête dans le creux de son cou, tu te sentais tellement bien, tu te sentais à ta place.

- C'est moi qui suis désolé, je me suis mal comporté, je t'aime, chuchota-t-il avant d'embrasser ton front, te serrant un peu plus contre lui. 

Répondant à son étreinte tu te mis à sourire tandis que Bruce s'éclipsait sans savoir pourquoi vous vous étiez disputé, mais ça lui était bien égal : vous étiez si mignons ensemble.

L'amour, le vrai, avait enfin un visage : vous.

🤘🏻🔥🤘🏻

Coucou vouuuus !
Bon je sais je suis pas très active : j'en suis désolée. 🙏🏻

Sinoooon
Je trouve que la fin de cet imagine n'est pas très très folichon mais bon !

Mais par contre je trouve que le début est ma fois chacha !
( celle-ci elle est pour toi Augustin 😉 même si tu lis pas mes imagines 😂 )

Donnez-moi vos avis si vous le souhaitez !
Merci d'avoir lu je vous aimeeeeeuh ;)

- Cassi