Imagine Tony Stark/ Robert Downey Jr ❤

Paradis / RDJ

Un repas entre amis, des discutions, des rires. Tu souriais bêtement en serrant le bras de Robert, la tête posée sur son épaule.

- Et vous ? demanda ton amie en vous regardant. Ça fais combien de temps que vous sortez ensemble ?

Tu regardas Robert avant de déclarer en même temps que lui " Deux semaines ! ". Vos amis rirent sachant très bien que cela faisait bien plus longtemps. Tu souris un peu plus et chaque fois que vous vous vous mettiez à rire tu sourais de plus en plus.

Robert passa son bras autour de toi et t'embrassa les cheveux.

- Je t'aime.

- Moi aussi, Robert, même au paradis je t'aimerai.

- Qu'est ce que j'irais faire au paradis quand tu t'endors près de moi ?

- Pardon ? Je ne suis pas sûre de bien comprendre, mon cœur.

- Ce n'est pas grave, dit il en souriant avant de reprendre, je t'aime chérie.

Tu souris pour seule réponse et fermas les yeux pour profiter de l'instant présent.

Le soir, alors que tu étais allongée sur le grand lit que tu partageais avec Robert, ce dernier arriva, seulement habillé d'un caleçon, et s'allongea près de toi. Machinalement, ta tête trouva sa place au creux de l'épaule de l'acteur. Sa tête vint ensuite se poser sur la tienne.

- [Y/N] ? questionna-t-il en se mettant sur le côté, prenant appuie sur son avant bras.

- Oui ? répondis-tu en souriant et en fermant ton livre avant de le poser sur la table de chevet.

- Parle moi de ta journée, j'adore quand tu me parle de ce que tu as fait. Il sourit un peu plus et remit une de tes mèches de cheveux en place. J'adore ta voix.

Tu souris et commenças à lui raconter ta journée en faisant de grands gestes avec tes mains et tes bras. Robert, lui, souriait un peu plus à chaque fois que tu disais quelque chose. Il buvait tes paroles, il les buvait, et plus il les buvait plus il en voulait.
C'était pire que de la drogue. Ce qu'il aimait par dessus tout c'était le visage que tu faisait en lui parlant : on avait l'impression que tu revivais chaque choses que tu racontais.
Et les heures passaient ainsi, vous vous parliez sans jamais vous lasser. Mais il commençait à se faire tard : il était déjà trois heure et, dehors, il faisait nuit noire.

Tu te glissas dans les bras de Robert et il les referma autour de toi, la tête contre la tienne.

- A demain, mon amour, chuchota-t-il au creux de ton oreille en s'endormant, te laissant avec tes pensées, seule dans ce grand lit qui te paraissait maintenant vide.

Le lendemain, lorsque tu te levas, tu fus surprise de voir qu'il n'y avait plus personne à côté de toi. Tu jetas un coup d'oeil au réveil. Il n'était pas tard pourtant. Tu t'étiras, sortis du lit et enfilas une veste avant de descendre les escaliers pour aller au salon.
Arrivée en bas, tu souris en voyant Robert assis à son piano à grifonner sur du papier à musique. Cela faisait si longtemps qu'il n'en faisait plus.

- Bonjour chéri, le saluas-tu en venant embrasser sa joue avant de t'assoir à côté de lui.

- Bonjour, mon cœur, répondit-il en souriant. Bien dormi ?