Imagine Tony Stark/ Robert Downey Jr ❤

Je t'aime / Tony Stark

Iron Man. Oui, Iron Man était ton petit ami et tu le savais très bien. Tu savais aussi les risques qu'il prenait chaque jour en partant en mission, tu le savais très bien. Et chaque jour tu lui disais " Mais c'est dangereux ! N'y va pas, ne me laisse pas ! ". Mais rien n'y faisait il y allait quand même répondant simplement qu'il ferait attention et qu'il avait l'habitude.

Mais aujourd'hui, tu étais vêtue de la plus belle robe noire que tu avais pu acheter et tu savais que, quelques jours plus tôt, Tony n'avait pas fait attention. Pourquoi avait-il fallu que ce soit lui et pas un autre ? Oui, c'était sans doute une pensée horrible mais en ce jour, tout te paraissait plus horrible. Personne n'arrivait à te calmer, tous les jours tu fus plus triste et encore plus triste. Tony t'avait laissé. Oui, cette fois pour de vrai, il ne reviendrait pas aujourd'hui, ni demain, ni jamais. Tu pleurais et personne n'y pouvait rien, seul Tony aurait pu faire quelque chose. Le mois d'avril ne serait plus jamais pareil pour toi. Maintenant, tu le détestais, ce mois.

Assise sur quelques roches, dehors, tu laissais coulées tes larmes : elles coulaient et ne s'arrêtaient pas, elle ne s'arrêteront sans doute jamais. La tête dans tes mains, les coudes sur les genoux, tu voudrais simplement être ailleurs. Plus loin, Clint, Steve et les autres te cherche, de peur que tu ne fasses une bêtise. Une bêtise ? Tu pleurais juste, incapable de faire autre chose, incapable même de bouger les jambes. Clint s'approcha doucement de toi et posa la main sur ton épaule.

- Hé, ça va, demanda-t-il en s'asseyant à côté de toi.

- Comment ça peut aller ? répondis-tu dans un murmure triste.

- Hum... Il a sauvé Steve.

- ET IL S'EST TUÉ ! t'énervas-tu ne voulant plus entendre personne.

- [Y/N], ne t'énerve pas, je dis juste qu'il est resté un héros.

- La ferme Clint, la ferme ! Tu serras les poings et tes larmes de tristesse devinrent des larmes de colère. Steve, dis-tu en grinçant des dents. Steve ! crias-tu cette fois la colère te faisant te mettre debout.

Steve s'était retourné, se demandant pourquoi tu avais crié son nom, et il regretta bien vite car tu te mis à courir vers lui avant de couvrir son torse de coups, l'insultant de tous les noms.

- C'est de ta faute tout ça, crias-tu en larmes et en tapant plusieurs fois au même endroit ce qui commençait à lui faire mal.

- [Y/N], arrêtes. Un autre coups atteignit son torse et il grimaça de douleur avant d'attraper tes poignets pour que tu te stoppe. Ça suffit maintenant !

- Va te faire voir, Steve ! Tout ça c'est de ta faute ! dis-tu en te débattant mais le Captain était bien plus fort et il te prit dans ses bras pour ta rassurer.

- Calme, toi, je suis là.

- C'est bien ça le problème : tu es là ! Pourquoi t'es pas mort ?!

Le cœur de Steve se brisa. Il cru qu'il allait tomber tellement ce que tu avais dit l'avait blessé. Il te serra un peu plus fort sachant que tu disais ça sous la colère et la tristesse.

- Calme toi, s'il te plait, je t'en pris, essaya-t-il de te consoler en caressant tes cheveux.

Et toi tu pleurais, tu avais cédé et tu pleurais dans les bras de Steve. " T'es méchant, Steve... " dis tu en pleurant toutes les larmes de ton corps. Steve ne répondit rien et se contenta de caresser ton dos pour te rassurer, chuchotant des " je suis là ", " calme toi " et bien d'autres.

Et maintenant, Rodhey, Steve, Clint et Bruce portait le cercueil de l'homme que tu aimais, Thor derrière eux. Natasha restait près de toi pour te rassurer.

Et puis, vint le moment des adieux, les vrai adieux, ceux que tu ne voulais pas faire, ceux que tu voulais à tout prix repousser. Malgré tout, tu n'y avais pas échappé. Les larmes aux yeux, marchant doucement, comme un fantôme,tu te dirigeais vers le cercueil de Tony. Tu resta d'abord quelques secondes, là, devant lui, le regardant te disant qu'il était toujours aussi beau. Il avait l'air de sourire, tu en étais persuadée.

 - Je t'aime, Tony, dis tu tout bas ne bougeant plus, sûrement attendant une réponse qui ne viendrait pas.

Tes mains tremblaient sur le bois qui entourait le milliardaire, tes yeux s'humidifiaient et ta gorge se serait. Doucement, tu sortis un papier de ta poche de veste, le déplia et le mis face à Tony pour qu'il puisse le " lire ". Tu te tournas et repartis lentement, aussi lentement que tu étais venue et, à peine assise à côté de Clint, tu t'effondras dans ses bras. Et Clint étais là pour toi, il te câlinait, voulant te rassurer, retenant ses larmes pour paraître fort. Et lentement, Tony s'enfonçait sous terre, sous ton regard plein de larmes. Avec lui, le papier que tu avais déplié, descendait sous terre aussi. Et puis le bruit des pelles prenant la terre et la jetant par dessus le cercueil, que tu ne voyais bientôt plus.

Le soir, en rentrant chez toi, tu pensas une dernière fois à ce papier et tu te souvins des mots que tu avais écris.

" Chéri,

Je sais que là où tu es, tu reposes en paix. J'aurai aimé te le dire plus souvent mais sache que je t'aime.

Je veux me souvenir des bons comme des mauvais moments et des jours où tu souriais. Je penserai toujours à toi. Qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente ou qu'il grêle tu seras à jamais avec moi.

Je suis désolé de ne pas être près toi aujourd'hui. Mais je te laisse ces quelques phrases sur cette feuille de papier et je relis souvent ces mêmes mots par peur que tu les oublies : 

  " Je t'aime, Tony ".  "

Bonsoiiiiiiiiiiir !
Babe j'espère que tu ne me tueras pas trop quand même hein...

Sorry ...

Cassi -