CHAPITRE CINQUANTE.
« c'est qu'une question de confiance. »
_____KIMBERLY
Précédemment,
Je reste au bout de la rue ne savant pas quoi faire, elle avait quand même raison mais je ne voulais pas l'abandonner.
En tous cas, j'ai quand même bien fais de lui dire. J'aurai pas aimer que moi, Mila me cache que mon copain est à l'hôpital. Je l'ai fais pour son bien, et je suis sûr que Mehdi va être content de la revoir.
Alors que j'allais faire demi-tour pour rentrer dans le bâtiment j'entends une voix familière m'appeler.
? - Kimberly !
Je me retourne et fut surprise lorsque je vis Antonio m'appeler.
___
Antonio se rapproche de moi et se mets à froncer les sourcils en observant mon visage.
Antonio - Ils ont essayés de te tuer c'est ça ?
Je touche ma plaie située sur ma joue. Je tente de me l'ignorer en continuant mais route mais il n'étais pas du même avis.
Antonio - Écoutes Kimberly, j'ai essayé de te prévenir par tous mes moyens mais je savais pas où t'étais pendant tous ce temps..
- Comment ça ?
Antonio - Chris cherche à te tuer, c'étais ses hommes qui ont essayé de te tuer cette nuit là.
- Tu ferais mieux de t'en aller, je peux être observer et s'ils te voient avec m-
Antonio - Je m'en fous, t'en fais pas pour moi c'est pas grave..
- Hum, bon je dois vraiment y aller faut que je rentre j'me sens pas bien ici j'ai l'impression d'être observé d'ailleurs.
Je regarde autour de moi en disant ça.
Alors que j'allais faire demi-tour pour rentrer dans le bâtiment, je sens la main chaude d'Antonio me retenir.
Je rêve où il vient de me prendre la main ?
Antonio - Attends.
J'ai eu le réflexe de retirer ma main, il a bien compris que ce qu'il venait de faire m'a un peu déplut.
Antonio - Fais-moi confiance..
Je le regarde droit dans les yeux pendants un certains moments, comme si je pouvais savoir s'il fallait que je le fasse confiance ou pas. Puis je fais volt-face pour rentrer dans le bâtiment.
Euh..c'étais quoi ça ? Le moment où il m'a tenu la main et ce regard ? Enfin bref, j'ai monté les escaliers vite fait rapidos pour ouvrir la porte de la maison de Wesley.
D'ailleurs il était au téléphone, j'entends sa voix grave de sa chambre à l'entrée où j'étais.
Wesley - au téléphone, oh le fils de p- fais chier !
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[II]ᴛᴇʟ ᴘᴇ̀ʀᴇ,ᴛᴇʟ ғɪʟs.™
AcciónEst-il vraiment comme son père ? L'enfant naît avec un tempérament en grande partie d'origine héréditaire. Mais ce tempérament peut changer suivant son milieu de vie et la façon dont il est élevé.