CHAPITRE SOIXANTE HUIT.
« Je veux casser quelque chose ! »
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WESLEY
...
...
souffle, c'est complètement vide ici.
Tyron - Gros téma le cul de ma femme !
J'étais à deux doigt de m'endormir sur ma paume de main mais Tyron me secoue.
Tyron - Je te parle !
- Je m'en branle putain !
J'allais enfin trouver le sommeil que je cherchais depuis toute cette nuit.
Tyron - Pardon, calme-toi un peu.
Iran - J'AI RÉUSSI À TE RAMENER LE MAGASINE DES MEUFS EN BIKINI !
Tyron - JURE ? COMMENT TU L'AS EU ?!
Iran - sourire mesquin, je l'ai volé au vieillard avec les lunettes là-bas.
Il pointe du doigt un vieux gars avec des grosses lunettes d'Harry Poter. Il avait la gueule d'un pédophile.
Tyron - OH T'ES TROP FORT !
- souffle.
Ils me regardent.
- J'vais prendre mes médocs j'en peux plus.
Je me redresse et me lève du banc.
Le gardien, Jean me dépose près du couloir de l'infirmerie et s'en va ensuite.
Je pense que c'est bon, je connais assez le chemin comme ça.
Je m'approche de la porte qui d'ailleurs était entre-ouvert. J'entendais déjà la voix de la jeune infirmière et d'un détenu.
? - Je dois repasser demain ?
La putain - Oui, tu risques une infection sinon.
? - Ok, je pourr-
Flemme d'attendre je pousse la porte et entre dans l'infirmerie.
- J'ai besoin de mes médocs.
Le détenu me regarde suivit de l'infirmière qui me dit toute gênée :
La putain - w-wesley ? Ne rentre pas comme ça et puis attends j'ai pas finis avec ce patient.
Je pense que je me suis mal exprimé.
- Tous de suite.
La putain - au détenu, ignorez le, revenez juste demain dans la matinée.
Le détenu - Oui, merci à demain.
Le détenu passe devant moi et s'en va en fermant la porte derrière lui.
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[II]ᴛᴇʟ ᴘᴇ̀ʀᴇ,ᴛᴇʟ ғɪʟs.™
AksiEst-il vraiment comme son père ? L'enfant naît avec un tempérament en grande partie d'origine héréditaire. Mais ce tempérament peut changer suivant son milieu de vie et la façon dont il est élevé.