Dans les harems, les chanceuses sont ces esclaves qui ont une "chance" de pouvoir devenir maîtresse du roi un jour. C'est le rôle aujourd'hui dévolu à Deirane : se former en attendant le bon plaisir du roi d'Orvbel. Le harem n'est cependant pas cet endroit clos et merveilleux où les femmes oisives profitent des plaisirs de la vie que les aèdes décrivent dans leur poèmes. C'est un lieu de connaissance que Brun, le roi d'Orvbel, utilise pour former ses conseillers. C'est aussi un lieu pouvoir où les concubines rivalisent pour la puissance, n'hésitant pas à recourir au meurtre à l'occasion. Brun lui même va jusqu'à les piéger pour s'assurer de leur fidélité. Mais c'est aussi l'endroit idéal pour permettre à Deirane de se venger de ceux qui l'ont réduite en esclavage en tuant son fils, son compagnon et sa meilleure amie. Et quand une femme guidée par la haine décide de se venger, est-il possible de l'arrêter quand elle dispose d'un corps tel que celui que le drow lui a donné ? Cette histoire est une seconde réécriture. Vous êtes invité à commenter pour m'aider à l'améliorer. Mise à jour en cours : §40/57 (au delà de cette limite, la numérotation des chapitres peut devenir temporairement incohérente).
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