CHAPITRE 14 : Tu rigoles ? L'amour c'est pour les faibles....

171 3 0
                                    

Point de vue Scarlett

Aujourd'hui, je ne sais pas, mais je sens que cette journée va être superbe. Je commence par m'extirper du lit. Je prends ma douche rapidement. Je suis d'humeur à me lisser les cheveux. Bien que nous soyons samedi, j'ai une envie de changement. Cela va d'ailleurs me prendre un certain temps, plus qu'avant en tout cas, mes cheveux sont définitivement trop longs !

Je prends soin de moi, de mon visage, j'applique un sérum dans mes cheveux le temps que le lisseur chauffe. Cela me fait bien rire, je me souviens deux ans auparavant lorsque je m'étais lissée les cheveux tout le monde avait adoré et moi la première.

Une bonne heure après, je sors de la salle de bain toute propre et me dirige vers le dressing. Je me prends une paire de collant noir transparents ainsi qu'un col roulé noir et une jupe plissée qui m'arrive au niveau des cuisses. Je dois bien dire que les vêtements de ce dressing ne sont pas mal, mais, tout n'est pas tellement mon style...

Je regarde rapidement le reflet dans mon miroir, je crois que j'aurais bien pris quelques photos si j'avais eu mon téléphone avec moi.

Je sors de ma chambre et me dirige vers l'escalier.

En arrivant dans la cuisine, je me prends un verre d'eau et un morceau de radis. Je vous l'accorde, je mange beaucoup de radis, j'adore les radis, je pourrai tuer pour les radis. De toute manière Eichi n'est pas là, il est parti faire des courses, le frigo est vide...

Je me dirige ensuite dans le canapé et m'installe, j'attrape la télécommande et allume la télé. Et me demande ce que je pourrai bien regarder seule.

J'ai une petite idée. Je vais sur Netflix et choisi mon film français préféré. Et oui quoi de mieux que de retourner à ses origines ?

Je clique sur ce fameux film qui est d'ailleurs très vieux, et me voilà qui m'extasie toujours devant ces belles robes couleur du temps, de lune et de soleil ! J'adore !

Je me mets à l'aise et visionne mon film d'enfance. Je suis presque à la fin du film lorsque j'entends la porte de l'entrée. Je reste dans ce canapé magnifiquement confortable décidant de ne pas prêter attention à celui qui entre.

J'entends des pas et des pas se rapprocher, je ne bouge pas trop captivée par la scène de la bague.

Je sens une présence derrière moi et une odeur. Son odeur, elle sent beaucoup trop bon. Une odeur virile, douce, enivrante, parfaite et agréable. Une senteur mystérieuse, froide et, qui à la fois me fait sentir en sécurité et confiante. J'imprègne mes narines de cette douce odeur, je dois littéralement renfiler devant lui mais bon, pas grave. Je lève la tête vers l'arrière et je vois son visage à l'envers. Il se penche et attrape la télécommande et mets le film en pause. Je fronce les sourcils :

" Tu viens, il y a les courses à décharger !"

Déballer les courses, je me souviens lorsque mes parents faisaient les courses je guettais toujours s'ils avaient acheté des radis.

Je sors dehors et lève un sourcil. Mon dieu, je suis dehors ? Non, je ne peux pas le croire !

- Bon tu te dépêches crevette ? J'ai faim moi !

Je le comprends, j'ai également très faim.

Je me dirige vers sa voiture. Je fronce de nouveau les sourcils. Non, ce n'est pas vrai, cet homme est vraiment un cas ! Un gros cas !

Il est parti faire ses courses en Ferrari. Non, mais non c'est une blague. Les courses sont dans le capot de la jolie voiture verte. Je n'adhère pas aux habitudes de James, j'aurai visé le pratique. Même s'il ne possède que de très belles voitures, j'aurai choisi la tesla qui est davantage pratique.

SCARLETTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant