chapitre 22

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avril 2019

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avril 2019

«les nouvelles viennent d'annoncer l'ouragan. »

GARANCE PRUSKI
tokyo, 11h34

qu'est ce qu'il dis? je demande timidement à ken, cachée derrière son dos.

un ouragan arrive droit sur tokyo, déclare gravement le rappeur français, et il dit qu'il faut rentrer au plus vite chez nous.

Je râle et observe avec tristesse la pluie s'abattre sur tokyo. C'était seulement le deuxième jours de nos vacances, et on devait se cloîtrer chez nous. Ken attrape ma main, salue le japonais avec qui il conversait d'un signe de la tête, et rabat sa capuche sur son visage en ouvrant la porte du petit bar où nous nous étions réfugions. Il ne fait pas froid, mais la pluie est gelée. On s'aventure dans les violentes bourrasques de vent, et ken commence à courir.

J'éclate de rire, et cours aussi, la main toujours étroitement liée à la sienne. La pluie colle mes cheveux à mon visage, et l'eau dégouline sur ma peau. Nos mains glissent et nous sommes trempés jusqu'aux os, mais je dois avouer que j'en ai particulièrement rien à faire. On arrive rapidement à l'appartement que ken a loué, et je me laisse tomber contre la cloison une fois la porte déverrouillée.

— va prendre une douche, m'ordonne-t-il en enlevant son tee shirt dégoulinant, tu va attraper froid sinon.

Un sourire mutin aux lèvres, je me tourne vers lui et lie mes mains autour de sa nuque sous sa mine surprise. Une poussée de confiance me prends et je pose mes lèvres sur le début de son menton pour remonter doucement jusqu'à ses lèvres. Mon souffle percute sa lèvre inférieur et je sens son cœur s'affoler.

— viens prendre ta douche avec moi, je murmure de manière sensuelle, ça ira plus vite.

— garance, chuchote-t-il a son tours, t'es sur que?

Je le coupe en posant sauvagement mes lèvres sur les siennes. Il agrippe mes hanches et me colle brusquement à lui, envouté. Je passe mes mains dans ses cheveux et mordille sa lèvre inférieur, provocatrice. Alors que le baiser commençait à devenir quelque peu sauvage, je me détache brutalement de lui, et m'éloigne, un sourire de gamine aux lèvres. J'entre dans la salle de bain et laisse glisser mes vêtements sur le sol, avant d'entrer dans la douche.

-| partie facultative|-

J'allume l'eau, et ferme les yeux en passant mes mains trempées sur mon visage, rabatant ainsi mes cheveux sur le derrière de mon crâne. Les mains de ken s'enroulent brusquement autour de ma taille, et remonte doucement jusqu'à mon sein gauche, qu'il palpe sans grande délicatesse. Je laisse tomber ma tête sur son épaule, et il embrasse le creux de mon cou avec beaucoup d'intérêt.

Mon corps se tends face à cette sensation si plaisante que me prodiguait le corps de ken, et je viens poser ma main sur le haut de sa cuisse, près de son V, pour y planter mes ongles.

Il embrasse mon cou et y dépose des baisers fiévreux en descendant de plus en plus bas sur mon torse. J'agrippe ses cheveux mouillé lorsqu'il dépose ses lèvres sur mes tétons dilatés, et s'amuse avec. Sa langue encercle mes petits bouts de chairs, m'arrachant un long gémissement, presque plaintif. Cet homme adorait jouer avec moi.

Je dépose mes mains sur ses côtés et m'abaisse au niveau de son membre gorgé de sang, les genoux posés sur la pierre du sol de la douche.
Mes lèvres se pose sur son gland et mes mains délicates s'enroulent sur la base de son membre. J'entame de long va et viens, et plante mes yeux dans les siens en effectuant de sensuels mouvements. Il laisse tombe sa tête en arrière et gémit bruyamment mon prénom en attrapant férocement l'arrière de mon crâne, en entourant mes cheveux autour de son poing.

Après quelques secondes, je le sens venir dans ma bouche, et avale en m'essuyant le coin des lèvres. Ken saisit ma taille, à peine relevée, et je sauta sur sa taille en enroulant mes jambes autour de son corps. Il me plaqua contre les parois froids de la douche, et plaça son sexe brûlant à l'entrée du mien. Après un regard entendu, il entra lentement en moi, m'arrachant un gémissement plus fort que les autres.

J'agrippe un peu plus fort son cou à chaque coup de rein, et finit par venir, en même temps que lui, pour la seconde fois.

Décidément, ken était vraiment un bon coup.

Je sors de la douche et m'enroule dans la serviette rouge que me tend ken, puis me laisse tomber sur le grand lit baldaquin de la chambre.
Ken me rejoint rapidement et dépose un baiser fiévreux sur mes lèvres avant d'attraper une cigarette et de l'allumer du bout des doigts.
D'un geste de la tête, il me désigna sa clope.

— tu fumes pas après le sexe? demanda ken, curieux de ma réponse.

Fière de ma futur bêtise, je me redresse sur mes coudes et roule sur lui pour atterrir à califourchon sur sa taille, la tête au dessus de lui.

— si, je dis, mais seulement quand j'ai jouis.

Il prends une tête offusquée et je me tords de rire lorsqu'il me balance sur son épaule, déterminé.

— on va ken dans tout l'appart, balance-t-il en me posant sur la table, en commençant par cette table. Prépare toi à fumer un paquet de clope entier garance de mes deux.

J'éclate de rire et plaque violemment mes lèvres sur les sienne.

•••

18h45


— j'suis vraiment dégoûtée d'être rentrée, j'avoue a ken, c'était tellement bien pour le peu de temps qu'on a passés la bas, je geint.

Ken rit, et amène nos mains liées à ses lèvres pour embrasser ma paume avec douceur, les yeux plantés dans les miens.

— j'ai vraiment passé de belles vacances, il m'embrasse la joue et me tire vers le taxi le plus proche, on va chez toi ou chez moi?

Je rigole et indique mon adresse au chauffeur de taxi, collée à Ken.
Retour à Paris.

𝐋𝐄 𝐒𝐈𝐋𝐄𝐍𝐂𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐌𝐎𝐓𝐒, nekfeuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant