chapitre 30

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Chapitre 30, ça passe vite;)

Chapitre 30, ça passe vite;)

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septembre 2019

« avec de l'autotune ça passerait peut être mieux. »

GARANCE PRUSKI
paris, 16h56



— On est pas fatigués, hurle Lisa en arrivant dans le bureau commun, Vous êtes fatigués! On est pas fatigués! Vous êtes fatigués!

— On est fatigués la con de tes morts! geint Max en s'endormant presque dans son café.

Je pouffe et passe une main lasse sur mon visage fatiguée. Hier soir, c'était une soirée mouvementée. Lune s'est battu avec un mec qui forçait trop avec Orlane et j'étais complètement torchée. J'ai fais n'importe quoi. Sauf que, le problème, c'est que Noé était aussi bourré que moi. On est monté sur les tables, on a danser comme des fous et avons faillit nous faire virer de la boîte. Mes amis m'ont déposés à l'appartement vers trois heures du matin passée. Je n'avais qu'une envie en gravissant les escaliers de mon immeuble: m'échouer sur mon lit et dormir.

Cependant, un obstacle d'envergure c'était mit sur mon chemin. Et par n'importe lequel. Monsieur Samaras. À peine avais-je franchis le palier de l'appartement qu'il m'étais tombé dessus, prêt à me déshabiller de la robe qu'il aimait tant. Ses mains avaient parcouru mon corps, m'avait électrifié. Ken me faisait toujours ressentir des choses que je ne comprenais pas.

Mon cœur palpite à la seule évocation de son prénom, et mes rouges rougissent automatiquement en pensant à lui. Cet homme me faisait ressentir des choses incroyables, que je n'avais jamais ressentie, et j'adorais ça. Je jette un coup d'œil à mon montre et mes yeux s'écarquillent. Il était l'heure pour moi de débaucher. Le week end m'attendait sagement à la sortie du boulot.

Je salue mes collègues et m'empresse de sortir par la porte principale, un sourire aux lèvres. Mon sourire s'agrandit lorsque je vois Ken se tenir pres d'une voiture, les mains dans les poches, une cigarette aux coins des lèvres. Je m'avance rapidement vers lui et saute dans ses bras, heureuse de le voir. Il ressers sa prise contre ma taille, et embrasse le creux de mon cou de ses lèvres froides. Un frisson me parcourt l'échine et j'embrasse doucement ses lèvres.

— Salut toi, murmure le grec contre ma peau.

— Qu'est ce que tu fais là? je demande, surprise, on devait se retrouver à la soirée de Fram' et Mekra, non?

Il hausse les épaules et embrasse mon épaule avant de croiser nos doigts.

— C'est pas tout les jours nos six mois, non?

𝐋𝐄 𝐒𝐈𝐋𝐄𝐍𝐂𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐌𝐎𝐓𝐒, nekfeuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant