avril 2019
« te voir dans cet état, ça m'faisait si mal. »
GARANCE PRUSKI
paris, 8h23Le chant des oiseaux m'avait réveiller ce matin ensoleillé du 3 avril 2019, de bonne humeur. Un grand soleil trônait fièrement dans le ciel, face à moi, et un café brulant n'attendant que moi, posé sur le plan de travail de ma cuisine.
Aujourd'hui, c'était l'anniversaire de ken. 29 ans et encore toutes ses dents.
Ken avait toujours gardé son âme d'enfant, et j'en été fière.J'avais organisé une soirée tranquille chez moi avec les garçons, puisque ken n'était pas quelqu'un d'extravagant.
Il aimait la simplicité, et, je pense, n'avait pas besoin d'une ordre de « joyeux anniversaires » pour se sentir aimé.Après tout, c'était nous sa famille. Enfin, les garçons. Moi, j'étais une pièce rapportée du puzzle qui comblait les trous que les filles d'un soir laissaient. Il était tôt, et j'avais un tas de choses de prévus. Décorer l'appart pour ce soir, faire les courses, bosser sur mon livre qui, d'ailleurs, n'avançait pas des masses et pour finir, me préparer.
Les garçons s'étaient répartis les tâches pour m'aider, et je m'étais retrouver, pas malheur, en duo avec mekra pour décorer l'appart.
L'homme sombre devrait arriver d'ici deux petites heures, ce qui me permettrait d'écrire un peu avant son arrivée. Motivée, je claqua ma tasse contre le plan de travail, et essuya mes mains sur un torchon avant de me diriger à grands pas vers mon ordinateur portable posé sur la table.Chapitre 5
Il m'avait brisé le cœur, et pourtant, je continuais de l'aimer. Et quand j'aime, j'y met toute mon âme. Beaucoup dirons que c'est stupide de s'accrocher à quelque chose, ou quelqu'un qui nous fait du mal. Moi je dis que c'est stupide d'abandonner quelque chose qu'on a toujours voulu.
Je savais qu'il me trompait. Il me lançait toujours un vague « je vais prendre l'air », et quittait le domicile familial à vive allure, pressé de voir ses nombreuses maîtresses. Et moi, je restais plantée au milieu de la cuisine, notre enfant dans les bras, comme une bonne. J'avais toujours travailler pour deux, pour nourrir, loger et faire vivre la famille, tandis que lui, passait ses journées à me tromper, ou à dormir, avachi sur le canapé.
De nombreuses fois, mes amies m'avaient dit de le quitter. De partir avec notre fils sans me retourner, et de ne jamais revenir. Mais j'avais peur. Je l'aimais a en mourir. Et, lorsqu'il rentrait de ses nuits agitée, un sourire niais aux lèvres, et qu'il venait poser ses lèvres sur ma joue, je fronçais le nez en essayant de faire bonne mine. Essayant d'oublier qu'il empestait le parfum de femme.
Je l'aimais. J'aimais Esteban Terbaim.
Je sortis de mon écriture en entendant frapper à ma porte d'entrée. Je râle et racle ma chaise contre le sol en me levant. Deux heures étaient passées, et j'avais seulement écrit deux pages.
J'ouvre la porte et mekra entre directement, dans ma permission.— fait comme chez toi surtout, je marmonne, bonjour, j'vais bien merci, et toi?
Il me lance un regard sombre et pose les affaires qu'il a apporter sur la table basse de mon petit salon. Il enlève sa veste et la pose sur la chaise face à mon ordinateur.
— bon, je lache en brisant le silence, j'vais chercher les decos dans ma chambre, j'arrive.
Je tourne les talons et me dirige vers ma chambre, laissant Hakim derrière moi. Je saisis les décorations placée dans un grand carton, et retourna dans le salon. Hakim était penché sur mon ordinateur, le visage fermé et les sourcils froncés. Je m'avance rapidement vers lui et referme d'un claquement mon ordinateur portable, arrachant un sursaut à mekra.
— respect de la vie privée? je grogne en croisant mes bras sur mes ordinateurs posé contre ma poitrine, tu connais?
— t'écris vraiment bien, se contente de dire hakim en haussant les épaules, on s'y met?
Sans attendre ma reponse, il saisit la boîte de led lumineuse et déroule le fil sous mes yeux surpris. Mekra, l'homme sombre venait-il de me complimenter pour la première fois?
Je m'active et commence à cuisiner sur ma grande table. Je prépare l'apéritif, les boissons, m'occupe d'installer les tables ainsi que les chaises et les canapés.
— dis? Je finis par demander à hakim après deux longues heures de silence.
— quoi? Souffle-t-il en positionnant les bouteilles d'alcool sur les tables.
— pourquoi tu m'aimes pas?
Il s'arrête dans ses mouvements et me fixe, les bras ballants. Je pince mes lèvres et écartent mes mains en secouant la tête, perdue.
— j'sais pas, il me réponds de sa voix rauque, j'te sentais pas trop, mais...
— mais?
— tu rends ken heureux.
— comment ça? je fronce les sourcils en tentant de calmer mes sueurs froides.
Comment aurait-il pu s'aperçoit de ma liaison avec ken? Nous n'en n'avions parler à personne!
— j'sais que tu flippes parce que tu sais pas comment j'le sais hein, ricane le bre-som en croisant ses bras contre son torse, mais j'te rappelle que ken c'est mon reuf, il me dit tout. Et ça fais 3 mois qu'il me parle non-stop de toi, donc j'sais.
Je souris rapidement à hakim et me re-penche vers ma cuisine, un petit sourire niais aux lèvres. Ken avait parler de moi.
aimé par plkpb noéchamberl et 4 560 autres personnes
rudyprsk birthday boiiiii🤪 k🎼
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𝐋𝐄 𝐒𝐈𝐋𝐄𝐍𝐂𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐌𝐎𝐓𝐒, nekfeu
Fanfictionᴛ ᴏ ᴍ ᴇ. 2 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐠𝐚, "𝙰𝙼𝙴𝚂 𝙴𝙽 𝙿𝙴𝙸𝙽𝙴" 𝐓u es la seule personne que j'ai rencontré qui porte les étoiles dans ses pupilles et l'univers complet dans son cœur ivre d'amour. Tu sauves tout le monde, sauf...