chapitre 24

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avril 2019

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avril 2019

« sors de ma tête. »

GARANCE PRUSKI
paris, 22h44

Ken devait arriver d'une minutes à l'autres, et tout les invités retenaient leurs souffle. Idriss avait prétexter une soirée fifa posé chez moi pour papoter, et était partir le chercher il y 10 minutes de cela. Je savais très bien que ken se doutait se quelque chose. Il n'était pas dupe. Le bras de mon frère était solidement entouré autour de mes épaules, et nous attentions patiemment l'arrivé de ken.

Après quelques minutes, la porte d'entrée s'ouvrit, plongeant les nouveaux arrivants dans le noir le plus complet.

— frère, geint ken tel un enfant, m'arrachant un doux sourire, qu'est ce qu'on fous là? On aurait pu aller chez moi!

Après avoir vu le signal que nous lançait Adèle, la copine de doums, je me leva en même temps que les autres, et hurla un joyeux anniversaire de toutes mes forces. Ken mima une moue surprise et sourit, gêné.

— euh, je, balbutie-t-il, les joues rouges, merci?

Je rigole et prends le brun dans mes bras, heureuse de le voir. Il me sourit de toutes ses dents et remercie tout le monde. J'observe ken du coin de l'œil, assise sur un chaîne éloignée. Il est habillé d'un pantalon noir, avec un sweat short à capuche à l'effigie de Seine Zoo Records. Son éternelle casquette sur le crâne, il est beau.
Son sourire illumine toute la pièce et il parait heureux.

On est une vingtaine à tout casser mais j'arrive tout de même à perdre ken des yeux dans la foule. Mon appartement n'est pas si grand qu'il parait.
La chaise a mes côtés racle le sol et je découvre avec surprise une des seules personnes de la soirée que je ne connais pas. La grande blonde étends gracieusement ses jambes dénudées et remet en place ses cheveux bouclés en regardant la foule.

— Bonsoir? je tente, gênée qu'elle s'installe près de moi sans se présenter.

— Comment tu connais ken? me demande-t-elle directement, les yeux dans le vide.

C'est un ami de mon frère qui est devenu un des miens d'ailleurs, je réponds simplement en continuant de l'analyser curieusement, et toi?

La jeune fille s'est redressé et m'a regarder brutalement dans les yeux. Je crois que, si ils pouvaient me tuer sur les champs je le serais depuis des lustres. La blonde a éclaircit sa voix en appuyant sur sa poitrine du plat de sa main, et a commencer son récit. Elle s'est d'abord présenté froidement à moi comme étant une certaine Suzanne Langlois.

𝐋𝐄 𝐒𝐈𝐋𝐄𝐍𝐂𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐌𝐎𝐓𝐒, nekfeuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant